Le procès de Jay-Z connaît un nouveau tournant avec des révélations fracassantes. Le rappeur de 55 ans affirme avoir découvert que son accusatrice avait menti. Par ailleurs, le mari de Beyoncé apporte de nouveaux éléments qui pourraient incriminer l’avocat Tony Buzbee.
Jay-Z : des documents explosifs remettent en cause les accusations contre lui
Le mercredi 5 mars 2025, la détective privée Charlotte Hendersen a déposé une déclaration sous serment contenant des révélations explosives. Elle affirme avoir rencontré Jane Doe, la femme qui a porté plainte contre Jay-Z, et ses propos soulèvent de sérieux doutes sur la crédibilité des accusations.
La plaignante aurait été poussée à porter plainte contre Jay-Z
Charlotte Hendersen déclare avoir rencontré la plaignante à son domicile le 21 février 2025. Lors de cet entretien, Jane Doe aurait confié que son propre avocat, Tony Buzbee, l’avait incitée à poursuivre Jay-Z en justice. « C’est lui qui m’a en quelque sorte poussée à aller de l’avant avec cette affaire contre Jay-Z », aurait déclaré la plaignante.
Selon un document obtenu par TMZ, la femme aurait initialement rapporté à son avocat avoir été abusée sexuellement par Sean « Diddy » Combs en 2000. Cependant, lors de la formulation de sa plainte, elle aurait nuancé ses propos en affirmant que Jay-Z était présent, mais n’avait rien fait.
Un complot présumé pour extorquer Jay-Z ?
La détective Charlotte Hendersen allègue que Tony Buzbee aurait ignoré les déclarations de Jane Doe et aurait maintenu son accusation contre Jay-Z. Selon elle, l’implication du rappeur dans cette affaire ne serait qu’un stratagème pour lui soutirer de l’argent.
Ces incohérences dans le témoignage de la plaignante pourraient expliquer pourquoi sa plainte a été rejetée il y a un mois.
Aucune preuve d’intimidation ou d’agression
Dans son témoignage sous serment, Charlotte Hendersen affirme également que Jane Doe ne montrait aucun signe de peur ou d’intimidation. « Elle ne ressemblait pas à une personne qui avait été menacée ou forcée de garder le silence », affirme la détective. De plus, elle rapporte que la plaignante aurait clairement déclaré que Jay-Z ne l’avait jamais menacée.
Des zones d’ombre sur le rôle de la détective privée
Cependant, un détail intrigue : Charlotte Hendersen assure ne pas avoir été engagée par Jay-Z, mais refuse de révéler l’identité de son employeur. Cette information soulève des interrogations sur les véritables motivations derrière ces nouvelles révélations.
L’affaire Jay-Z continue donc d’évoluer avec des rebondissements inattendus. L’enquête pourrait prendre un tout autre tournant suite à ces déclarations explosives.