Le psychiatre de Liam Payne avait averti, quelques semaines avant le décès du chanteur, qu’il nécessitait un « niveau de soins plus élevé ». Cette révélation ajoute une nouvelle dimension à l’enquête sur la mort de l’artiste, survenue le 16 octobre dernier, à la suite d’une chute mortelle depuis le balcon de sa chambre d’hôtel au CasaSur Palermo, à Buenos Aires, en Argentine.
Mort de Liam Payne : ce que révèle le rapport toxicologique
Un rapport toxicologique, obtenu par ABC News, a révélé la présence de plusieurs substances dans l’organisme de Liam Payne au moment de sa mort. Selon Page Six, son psychiatre avait, en septembre, recommandé un suivi intensif, déclarant que, « après un examen minutieux », il était impératif pour le chanteur de suivre une thérapie régulière et de limiter sa consommation d’alcool. Le professionnel de santé avait aussi conseillé des tests supplémentaires et l’avait redirigé vers des centres de réadaptation spécialisés. Dans une lettre adressée au tribunal argentin, le psychiatre a confirmé avoir cessé de le voir.
Mort de Liam Payne : entre drame personnel et implications judiciaires
L’affaire a pris un tournant judiciaire avec l’inculpation de cinq personnes pour meurtre, selon TMZ. Parmi les accusés : Roger Nores, un ami proche de Liam Payne, inculpé pour homicide par négligence après avoir laissé le chanteur seul à l’hôtel avant sa chute. Deux employés de l’hôtel, Braian Paiz et Ezequiel Pereyra, ce dernier étant accusé d’avoir fourni des substances illicites au chanteur. Braian Paiz a admis avoir consommé de la drogue avec Liam Payne le jour du drame, mais nie toute implication dans la vente de stupéfiants. Ces deux accusés risquent jusqu’à 15 ans de prison. Les directeurs de l’hôtel, Esteban Grassi et Gilda Martín, sont également poursuivis pour homicide involontaire.
Malgré l’accumulation des preuves et témoignages, des zones d’ombre persistent concernant les circonstances exactes du drame, notamment les derniers moments du chanteur avant sa chute.