Jean-Claude Van Damme visé par une plainte pour exploitation sexuelle à Cannes

Le mercredi 9 avril, Jean-Claude Van Damme a réagi aux graves accusations selon lesquelles il aurait été impliqué dans un réseau d’exploitation sexuelle impliquant cinq femmes.

Coup dur pour Jean-Claude Van Damme : rumeurs, plainte et réaction de son agent

Depuis le 1er avril, l’acteur belge fait l’objet d’une plainte en Roumanie. Il est accusé d’avoir profité, en 2015 à Cannes, de la compagnie de cinq femmes roumaines « offertes » par un réseau actuellement visé par une enquête pour proxénétisme et constitution de groupe criminel, selon les propos de l’avocat d’une des plaignantes. Celui-ci affirme que « Jean-Claude Van Damme savait que ces personnes étaient exploitées », rapportent les médias locaux, notamment Antena 3, repris par Le Figaro.

Certaines des jeunes femmes impliquées auraient été mineures au moment des faits, et toutes auraient été en « état de vulnérabilité », ce qui correspondrait aux critères définis par l’article 182 du Code pénal roumain.

Face à ces accusations, l’agent de l’acteur, Patrick Goavec, a publié un communiqué relayé par le magazine People, niant en bloc : « Nous avons pris connaissance d’articles faisant état d’une prétendue liaison à Cannes impliquant M. Jean-Claude Van Damme. Les faits rapportés sont à la fois grotesques et inexistants. » Il ajoute que l’acteur « ne souhaite pas commenter ou alimenter cette rumeur, aussi absurde qu’infondée ».

Une affaire familiale : son fils également dans la tourmente judiciaire

Parallèlement, Nicolas Van Varenberg, fils de Jean-Claude Van Damme, a récemment été condamné en Belgique. Le 17 mars, le tribunal de Bruges l’a sanctionné d’une amende de 2 800 euros et d’une interdiction de conduire de trois mois. Le jeune homme de 29 ans conduisait une voiture de location en état d’ivresse, à contre-sens, à vive allure, et a percuté un autre véhicule — heureusement sans faire de blessés.

Ce n’est pas la première fois qu’il a affaire à la justice. En septembre 2017, alors étudiant en Arizona (États-Unis), il avait été condamné à 18 mois de prison avec sursis pour agression aggravée avec arme mortelle, séquestration et possession de drogue, après avoir menacé son ancien colocataire avec un couteau.