« Pourquoi j’ai pas mangé mon père » 5e plus gros départ de l’année

Jamel Debbouze a fait une incursion dans le monde du film animé avec « Pourquoi j’ai pas mangé mon père », un gros succès qui devance plusieurs sortie de mercredi. Commencé il y a quelques années, le film en 3D de Jamel, enfin achevé, ne reçoit pas l’d’assentiment des critiques cinéma mais cartonne au cinéma avec déjà151.071 spectateurs. La construction technique à notamment été sévèrement pointé par certain, même si la beauté de l’histoire mérite meilleur avis.

« Pourquoi j’ai pas mangé mon père » ne fait pas l’unanimité

Jamel Debouze a déployé l’artillerie lourde pour la réalisation de « Pourquoi j’ai pas mangé mon père », film d’animation 3D qui n’ a pas été reçu par la critique comme l’espérait le comédien. En effet, plus qu’un avantage, le trop-plein de moyens technologique, entre autres plus de 40 caméras, utilisés à fini par « tuer » l’aspect visuel très attendu dans ce genre de production. Des plans qui débordent, la lumière luisante donnant l’impression de le regarder chez soi qu’au cinéma ne plait pas à la critique.

Une belle histoire tout de même

Pour en revenir au fond, c’est-à-dire l’histoire racontée dans le film, elle est pleine de sens. Elle est en quelque sorte, l’histoire du comédien lui-même qui nous donne certaines orientations sur ses inspirations. On ne perd rien du Jamel Debbouze comique avec des expressions employées dans le film telles que « tu soccupes de rien, je soccupe de tout ». Avec la collaboration de son épouse, la ravissante journaliste Melissa Theuriau, Jamel raconte l’histoire (dans un décor amazonien), d’un jeune singe Édouard, aîné d’un roi singe, mais qui s’est vu écarter de la succession au pouvoir parce que trop frêle pour assumer les responsabilités qu’exige la fonction.

L’histoire devient pleine d’enseignement quand le jeune rejeté, pourtant plein de créativité, découvre comment manier le feu et marcher sans s’accroupir. Des notions extrêmement importantes pour sa race au point qu’il se mue en guide pour sa tribu.

Selon CBO-Box office 151.071 spectateurs auraient déjà vu le film de Jamel Debbouze au Cinéma, ce qui en fait le 5e plus gros démarrage de l’année. Il devance notamment Clochette et la Créature légendaire (68.768 entrées), Dark Places (14.467 entrées) et Lost River (7769 entrées) dans les sorties de mercredi.