Gros clash entre Nadine Morano et Jean-Marc Morandini en direct à la radio !

Morandini

Ce lundi matin, dans « Le Grand Direct de l’actu » sur Europe 1, Jean-Marc Morandini est revenu sur les propos polémiques tenus par Nadine Morano, samedi soir, dans l’émission « On n’est pas couché ».  

20 minutes après que le débat ait commencé, la femme politique a tenu à appeler directement la radio pour donner son point de vue au journaliste. « Je n’ai pas dérapé, samedi. […]  La phrase que j’ai dite est du Général du Gaule extraite des Mémoires écrite par Alain Peyrefitte ; en France, on n’a plus le droit de dire quoi que ce soit sans que l’on soit mis en accusation », a-t-elle commencé.

« En Côte d’Ivoire j’arrive dans un pays à majorité noire, dire ça va provoquer un nouveau scandale ? Et bien je le dis », poursuit-elle, avant que le philosophe  Mathias Leboeuf lui fasse remarquer qu’elle avait « une analyse géopolitique d’un enfant de cinq ans ». « Monsieur, je ne vous permet pas de tenir des propos pareils », lui a alors répliqué la Nadine Morano.

Nadine Morano : « La France est un pays de race blanche, je ne veux pas qu’elle devienne musulmane »

NADINE MORANO

Samedi soir, Nadine Morano était invitée de l’émission « On n’est pas couché », sur France 2. La femme politique a tenu des propos qui ont enflammé les réseaux sociaux.

En voici quelques extraits. « Nous sommes un pays Judéo-Chrétien de race blanche (…) et je n’ai pas envie que la France devienne musulmane, car dans ce cas, ce ne serait plus la France. J’ai envie que la France reste la France. La France un pays de race blanche, c’est sa grandeur d’accueillir des personnes qui viennent d’Afrique et d’autres continents », a déclaré la membre du parti Les Républicains.

« C’est incroyable d’entendre ça !, a réagi Laurent Ruquier. Le problème c’est qu’aujourd’hui en 2015 vous fassiez encore cette distinction, il y a des gens qui ne sont pas de peau blanche et qui sont autant Français que vous et moi ! » La toile s’est immédiatement enflammé après le discours de Nadine Morano.

Maïtena Biraben et sa « connerie » sur le FN !

MAITENA

Jeudi, dans « Le Grand Journal » de Canal+, Maïtena Biraben a évoqué « le discours de vérité » du Front National. L’animatrice de télévision s’est retrouvée au cœur d’une polémique.

« Vous savez que les propos de la vérité sont souvent tenus et incarnés par le Front national aujourd’hui, rarement par le Parti socialiste, très rarement par les partis classiques. C’est quelque chose qui vous pose problème ou que vous entendez et qu’à la fin des fins vous comprenez ? », a-t-elle demandé à son invité, l’avocat Eric Dupont-Moretti.

« C’est une entreprise qui marche bien », lui réplique ce dernier. « C’est le premier parti de France », renchérit  Maïtena Biraben, qui aurait sûrement mieux fait de se taire… Les internautes et les journalistes ont souligné le dérapage de la présentatrice. Philippe Gildas, ancien présentateur de « Nulle Part ailleurs », a estimé qu’elle avait dit « une connerie ».

Tension palpable entre Bruce Toussaint et Rachida Dati

Rachida Dati

Ce jeudi matin, Bruce Toussaint recevait Rachida Dati dans la matinale d ‘iTélé. L’occasion pour le journaliste de revenir sur l’accrochage qu’avait eu la femme politique avec Elise Lucet.

« Vous voyez, vous parlez de déontologie. On en a parlé avant, vous m’avez dit ‘non non, on est entre nous, on en parle. Je ne vous en parlerai pas durant l’interview« , a déclaré Rachida Dati. « Je ne vous ai pas dit que je n’en parlerai pas. Je vous ai dit ‘on en parle avant' », répond Bruce Toussaint. « Vous avez toujours raison. C’est vous le patron ! », estime Rachida Dati.

« Monsieur Toussaint, ça fait combien de temps que vous êtes ici [à la tête de la matinale d’iTélé] ? », l’a ensuite interrogé la députée. « Deux ans et demi, a alors répondu le journaliste. Ça fait quelques années qu’on fait des interviewes ensemble« . « Ça fait pas des années non plus quoi ! La prochaine fois sur un autre média, peut-être », a conclu Rachida Dati.

Marion Maréchal-Le Pen se fait jeter de la bière lors d’un meeting

FN - Marion Maréchal-Le Pen pour Jean-Marie ou pour Marine

A l’occasion d’un déplacement à Guillestre dans les Hautes-Alpes, Marion Maréchal-Le Pen a été arrosée par des manifestants. Le Front national a déposé une plainte ce vendredi.

La jeune femme politique s’était déplacée à Guillestre pour une rencontre avec une quarantaine de sympathisants, selon un décompte de la police, et près de 150 opposants s’étaient réunis devant la salle. Selon des sources concordantes, la candidate est sortie de la réunion sous des jets de liquide (bière), les opposants scandant des « fachos ».

« La contre-manifestation a été organisée par le maire écolo, à 10 mètres de la salle de la réunion publique. Nous avons alerté sur les risques encourus mais les alertes n’ont pas été prises en compte », a réagi Marion Maréchal-Le Pen, cité par le Lab d’Europe 1.

« Je n’ai pas voulu interdire la manifestation car je considère que chacun a encore le droit de s’exprimer, a pour sa part déclaré le maire écologiste de Guillestre, Bernard Leterrier . J’avais, cependant, mis en place un dispositif de gendarmerie au cas où. Marion Maréchal-Le Pen est sortie de la salle par une autre porte que prévue. Elle s’est dirigée d’elle-même vers les manifestants. Je ne crois pas qu’il y ait eu des coups. Avec mon équipe et la gendarmerie, nous l’avons raccompagnée à son véhicule. »

Clash entre Robert Ménard et Guy Bedos !

Robert Ménard

Traité de « petit con » par l’humoriste Guy Bedos, le maire de Béziers Robert Ménard (Rassemblement Bleu Marine), lui a répondu face caméra sur le plateau du Grand Journal de Canal+.

« Guy, tu n’as plus d’argent si j’en crois ton dernier livre, a déclaré l’homme politique controversé. On ne va pas se lâcher comme ça au milieu de la détresse, j’ai réservé pour lui une place à la maison de retraite de Béziers. Tu es le bienvenu ! « 

Robert Ménard fait donc référence à la situation financière délicate dans laquelle se trouve Guy Bedos. « Six mois après avoir mis un terme à ma carrière de show-man, des salles pleines à craquer depuis cinquante ans, forcé de vendre ma maison corse pour survivre. Fauché. Plus un rond à la banque », a écrit l’humoriste de 81 ans dans son autobiographie, « Je me souviendrai de tout », sortie le 14 septembre dernier chez Fayard.