Incident en Floride : Biden et Harris soulagés pour la sécurité de Donald Trump

Biden et Harris réagissent, Trump sain et sauf

Quelques semaines après avoir échappé à un incident dramatique, Donald Trump a une nouvelle fois frôlé le danger ce dimanche 15 septembre 2024. Kamala Harris et Joe Biden ont réagi à la nouvelle de la sécurité de l’ancien président des États-Unis.

Biden et Harris soulagés : Donald Trump échappe à un incident sécuritaire en Floride

Donald Trump est « sain et sauf » ce dimanche, selon son équipe de campagne, après des tirs qui, selon un communiqué de la Maison Blanche, ont eu lieu « au parcours de golf Trump International [en Floride], où l’ancien président jouait ». Le communiqué de l’équipe de Trump ne précise pas exactement où et quand les faits se sont déroulés, se contentant de mentionner « des coups de feu à proximité », tout en ajoutant qu’il n’y avait « pas plus de détails pour le moment ».

Il n’est pas encore clair si les tirs visaient directement le candidat républicain. Le Secret Service, chargé de la protection des personnalités politiques de haut rang, a annoncé sur X qu’il « enquêtait avec le bureau du shérif du comté de Palm Beach sur un incident impliquant l’ancien président Donald Trump, survenu peu avant 14 heures [20 heures à Paris] ».

Du côté de la Maison Blanche, Joe Biden et Kamala Harris ont accueilli la nouvelle avec soulagement. Les deux se disent « soulagés » que Donald Trump soit « sain et sauf » après ces tirs, selon un communiqué de la Maison Blanche publié ce dimanche 15 septembre. Le communiqué indique également que « le président et la vice-présidente ont été informés de l’incident au parcours de golf Trump International en Floride, et ils seront tenus régulièrement informés par leurs équipes ».

Réactions politiques après la nomination de Michel Barnier : Macron divise

La nomination de Michel Barnier à Matignon fait réagir la classe politique

Emmanuel Macron a porté ce jeudi son choix sur Michel Barnier comme nouveau Premier ministre. Il succède ainsi à Gabriel Attal. Cette nomination a provoqué de nombreuses réactions au sein de la classe politique.

Nomination de Michel Barnier : réactions partagées entre soutien et scepticisme

C’est à travers un communiqué très bref que l’Élysée a annoncé, ce jeudi 5 septembre 2025, la nomination de Michel Barnier à Matignon. Sur les réseaux sociaux, les politiques n’ont pas tardé à réagir à la désignation du 26e Premier ministre de la Ve République. Si la gauche critique le choix d’Emmanuel Macron, la droite encense les qualités du nouveau chef du gouvernement, tandis que le Rassemblement national (RN) veut lui laisser sa chance.

Benjamin Lucas, député de Génération.S des Yvelines, n’a pas attendu l’annonce officielle pour dénoncer la nomination de l’ancien ministre sarkozyste. « Le Président s’apprête à nommer le perdant d’une primaire d’une force politique ultra-minoritaire dans les urnes et marginale à l’Assemblée nationale. La démocratie est piétinée. Forfaiture », a-t-il déclaré. À l’heure actuelle, les responsables politiques de gauche semblent épargner Michel Barnier, préférant concentrer leurs critiques sur Emmanuel Macron. Sandrine Rousseau (Écologistes) estime sur son compte X que « la nomination de Barnier est possible parce que Macron considère le RN plus fréquentable que LFI ».

La cheffe des Verts, Marine Tondelier, partage cette analyse. Des critiques qui résonnent avec les déclarations de Marine Le Pen. La députée du Pas-de-Calais a fait savoir dans la matinée que le Rassemblement national « attendra la déclaration de politique générale de Michel Barnier pour se positionner ».

Du côté de La France insoumise (LFI), la cheffe des députés, Mathilde Panot, dénonce le refus du président de la République « de respecter la souveraineté populaire et le choix des urnes ». Contre « ce coup de force inacceptable », l’Insoumise appelle à la mobilisation dans la rue le 7 septembre.

Au sein de l’hémicycle, Michel Barnier peut compter sur les voix de 47 députés estampillés « Droite Républicaine ». Olivier Marleix considère Michel Barnier comme un « homme d’État », tandis que sa collègue Annie Genevard loue « un homme qui connaît les priorités fixées par notre famille politique pour répondre aux attentes des Français ». Le maire de Cannes, David Lisnard, un temps pressenti pour accéder à la rue de Varenne, a félicité le nouveau Premier ministre, avant de se réjouir de « cette nomination qui met fin à un blocage préjudiciable à la direction de la France ».

Chez les macronistes, la nouvelle est accueillie plus froidement. Dans un communiqué, Renaissance, le parti fondé par Emmanuel Macron, annonce que ses députés (99) ne voteront pas de « censure automatique » contre le gouvernement que Michel Barnier doit former, mais qu’ils porteront « des exigences sur le fond, sans chèque en blanc ».

Brégançon : Macron face à un choix crucial pour le prochain Premier ministre

Dîner confidentiel à Brégançon entre le couple Macron et des invités

Cet été, à l’occasion du 80e anniversaire du débarquement de Provence à Bormes-les-Mimosas, le couple Macron a organisé un dîner ultra-confidentiel au fort de Brégançon. Le but de cette rencontre était de discuter de l’avenir politique de la France.

Emmanuel Macron consulte à Brégançon pour la nomination de son futur Premier ministre

Le fort de Brégançon, résidence estivale des présidents français, est un lieu privilégié où Emmanuel Macron aime passer du temps avec son épouse, ses amis, et organiser des rencontres informelles. Cet été, à l’occasion du 80e anniversaire du débarquement de Provence à Bormes-les-Mimosas, le couple Macron a organisé un dîner ultra-confidentiel à Brégançon.

Des figures bien connues du monde politique ont été invitées par Emmanuel et Brigitte Macron. Parmi elles : Philippe Étienne, ancien ambassadeur de France aux États-Unis et président de la mission « 80e anniversaire de la Libération », Patricia Mirallès, ancienne secrétaire d’État auprès du ministre des Armées, ainsi que des personnalités locales comme François Arizzi, maire de Bormes-les-Mimosas, Renaud Muselier, président de la Région Sud, François de Canson, vice-président de la Région et maire de La Londe, et l’ancien maire de Toulon, Hubert Falco.

De nombreux sujets ont été abordés, mais celui qui occupe actuellement toutes les discussions est la nomination du prochain Premier ministre. Chaque invité a partagé son point de vue. « On a donné notre façon de voir les choses », a confié François Arizzi à Nice Matin, avant d’ajouter : « Pour moi, il doit trouver la perle rare, capable de réconcilier les partis et de travailler avec tout le monde. » Autour de la table, plusieurs noms ont été évoqués, notamment ceux de Bernard Cazeneuve et Xavier Bertrand.

Face aux différentes opinions, Emmanuel Macron est resté discret. « Le Président pose des questions, écoute, mais ne nous a rien dévoilé », a précisé le maire de Bormes-les-Mimosas. Philippe Étienne aurait quant à lui défendu la candidature de Christine Lagarde, actuelle présidente de la Banque centrale européenne. En fin de compte, c’est à Macron que reviendra le dernier mot.

Il y a quelques jours, Emmanuel Macron a rencontré deux anciens présidents de la République, Nicolas Sarkozy et François Hollande. Invité sur le plateau de Quotidien ce mercredi 4 septembre, François Hollande a confié être ressorti troublé de cet échange. S’il a conseillé à Emmanuel Macron de prendre un risque en nommant rapidement un Premier ministre, même si cela devait impliquer la mise en œuvre d’un programme politique différent du sien, l’ancien chef de l’État a rapidement compris que le président n’était pas prêt à céder son pouvoir ni à abandonner la ligne politique qu’il a suivie jusqu’à présent. « Il ne veut pas cohabiter », a précisé François Hollande.

Elon Musk : La liberté et la méritocratie en jeu, « Trump doit gagner »

Elon Mosk soutien Donald Trump

Elon Musk exprime son soutien à Donald Trump. Il affirme que la civilisation est en jeu et que la liberté doit être préservée lors de la prochaine élection présidentielle qui oppose l’ancien président à la candidate démocrate Kamala Harris.

Elon Musk soutien Trump

Elon Musk, PDG de Tesla et SpaceX, s’est de nouveau prononcé sur l’élection présidentielle américaine en déclarant qu’il n’avait jamais été politiquement actif par le passé. Cependant, le milliardaire a affirmé que la civilisation telle que nous la connaissons est en jeu dans cette élection américaine. Selon Musk, pour préserver des valeurs fondamentales telles que la liberté et la méritocratie, il est impératif que Donald Trump remporte la prochaine élection présidentielle américaine face à la démocrate Kamala Harris.

Il a déclaré sur X : « Je n’ai jamais été actif en politique auparavant, mais cette fois-ci, je pense que la civilisation telle que nous la connaissons est en jeu. Si nous voulons préserver la liberté et la méritocratie en Amérique, alors Trump doit gagner. »

Une prise de position inédite

Bien que Musk ait souvent partagé ses opinions sur divers sujets, y compris la technologie et l’avenir de l’humanité, cette intervention très politique montre son implication dans l’élection à venir. Pour lui, cette échéance est un moment crucial pour l’avenir de l’Amérique et ses valeurs qui lui sont chères.

L’américain faisait l’objet d’un sujet du Figaro titré les « Les frasques d’Elon Musk » pour son « investissement dans Twitter » qui aurait été l’une « des pires opérations bancaires » de ces 15 ans dernières années.

Louis Aliot et Marine Le Pen : retour sur une relation amoureuse éteinte

Louis Aliot et son ex-épouse Marine Le Pen

Découvrez la vie amoureuse de Louis Aliot, maire de Perpignan, entre Marine Le Pen et son épouse actuelle Véronique Lopez, alors qu’il célèbre ses 55 ans.

Louis Aliot et Marine Le Pen : les dessous d’une rupture non révélés

Ce 4 septembre 2024 marque l’anniversaire de Louis Aliot, maire de Perpignan. Remarié le 16 juillet 2022 à Véronique Lopez après deux ans de relation, il a vécu une histoire d’amour précédente avec Marine Le Pen. Ensemble depuis 2009, le couple a mis fin à leur relation en 2019. Louis Aliot avait alors déclaré à L’Opinion, pour officialiser la séparation : 

“Cela arrive à un mariage sur deux. Il y a encore beaucoup d’affectif entre nous. Politiquement, nous restons sur la même ligne. J’ai toujours été en soutien. Je suis et je resterai mariniste.”

La relation entre Louis Aliot et Marine Le Pen a été très fortement médiatisée en raison de leur activisme politique au sein du Rassemblement National. Malgré leur séparation en 2019, Louis Aliot a toujours exprimé son soutien à Marine Le Pen.

Bien que les raisons de la rupture entre Marine Le Pen et Louis Aliot n’aient pas été officiellement dévoilées, il semblerait que l’indépendance de l’élu des Pyrénées-Orientales ait contribué à la fin du couple.

Dans le livre « Le Couloir de Madame », publié en 2017, la journaliste Alix Bouilhaguet rapporte une anecdote révélatrice. Lorsqu’elle demande à Marine Le Pen si Louis Aliot deviendrait « Première dame » si elle était élue présidente de la République, l’élue lui répond avec un éclat de rire : “Jamais de la vie !”. Et elle ajoute en plaisantant : « Avec son sacré caractère, je peux vous dire qu’il ne fera pas Première dame ! ».

Le Couloir de Madame, sorti en 2017, la journaliste Alix Bouilhaguet
Photo de la couverture du livre « Le Couloir de Madame ».

Cinq ans après sa séparation avec Marine Le Pen, Louis Aliot partage sa vie avec Véronique Lopez, une peintre qui signe ses œuvre de « Vebeca ». L’homme politique célèbre aujourd’hui, mercredi 4 septembre, à ses côtés, son 55ᵉ anniversaire.

Véronique Lopez, dit Vebeca, compagne de Louis Aliot
Photo de la peintre Véronique Lopez, dit Vebeca, épouse de Louis Aliot.

Ruquier se sent « coupable » pour « la comète Morano »

Samedi dernier, Nadine Morano a provoqué une onde de chocs en évoquant « la race blanche » et « les racines Judéo-chrétiennes » de la France. Des propos qui ont été tenus sur le plateau de Laurent Ruquier, dans l’émission « On n’est pas couché », sur France 2.

« Dans la nuit de samedi à dimanche, j’ai vu la comète Morano passer à une vitesse… Elle s’est désintégrée ! Je suis malheureux pour elle. Je me sens coupable en fait, je vous jure, alors que je n’y suis pour rien au fond parce que je n’ai pas forcé quoi que ce soit. Je me sens coupable parce que je l’aimais bien moi cette femme en plus ! », a expliqué l’animateur de télévision, ce vendredi, sur les ondes de RTL.

Malgré la vive polémique déclenchée suite à ses propos, Nadine Morano persiste et signe. « Vous voyez, au Congo, ils reconnaissent que la France est un pays de race blanche avec des noirs, comme le Congo est un pays de race noire avec des blancs », a encore déclaré la femme politique, jeudi, après avoir discuté avec un représentant de la République démocratique du Congo (RDC).