Philippe et Mathilde de Belgique en France : les coulisses de la deuxième journée de la visite d’État

Le couple présidentiel accueille le roi Philippe et la reine Mathilde à l'Elysée

La visite d’État se poursuit pour le roi Philippe et la reine Mathilde de Belgique. Pour leur deuxième journée officielle en France ce mardi 15 octobre, les deux célébrités ont eu un emploi du temps bien chargé. De leur visite à la Sorbonne à la découverte d’une exposition au Centre Pompidou, le couple royal a multiplié les rendez-vous à Paris.

Le roi Philippe et la reine de Belgique à la découverte du patrimoine français : de Paris à Chantilly

Ce lundi 14 octobre, le roi Philippe et la reine Mathilde sont arrivés dans la capitale pour une visite d’État de trois jours en France. Après avoir visité les Champs-Élysées, Matignon, l’Opéra Garnier, les Invalides et assisté à un prestigieux dîner organisé au palais de l’Élysée, le couple royal a eu un programme tout aussi chargé pour leur seconde journée. En effet ce mardi 15 octobre, le couple royal a enchaîné les visites dans la capitale, un véritable marathon.

Le premier rendez-vous s’est tenu à l’Hôtel de Crillon, place de la Concorde, où le roi Philippe a participé à un colloque sur les « défis pour l’avenir de l’industrie en Europe », comme rapporté par Paris Match. À la fin de cette matinée, Philippe de Belgique a retrouvé son épouse à l’Hôtel de Ville de Paris. Pour cette rencontre avec Anne Hidalgo, Mathilde de Belgique a troqué son ensemble rouge Dior pour une tenue plus éclatante : une veste et une jupe vert pistache, assorties d’un bandeau de la même couleur.

Après cette visite et un déjeuner à la Résidence de Belgique, le couple était attendu à la Sorbonne pour une séquence académique autour des alliances universitaires entre les deux pays. Une journée bien remplie, qui s’est terminée en beauté. À la nuit tombée, Philippe et Mathilde se sont rendus au Centre Pompidou pour découvrir l’exposition « Surréalisme ». Pour cet événement artistique, le couple royal s’était mis sur son trente-et-un. Le roi des Belges portait un élégant smoking noir, tandis que Mathilde brillait dans une longue robe blanche, ornée d’une cape vaporeuse parsemée de fines paillettes.

Après cette soirée artistique, Philippe et Mathilde ont pris la direction de Chantilly, point de départ de leur ultime journée en France. Ce mercredi 16 octobre marque la fin de leur visite d’État. Le programme s’annonce tout aussi chargé ! Dans la matinée, Philippe et Mathilde retrouveront Brigitte Macron pour visiter un joyau du patrimoine français, le château de Chantilly. Ils inaugureront ensemble une exposition sur Louise d’Orléans, princesse française devenue la première reine des Belges.

Le couple royal quittera ensuite l’Oise pour Lille, où ils ont été invités par la maire Martine Aubry. Après un déjeuner à l’Opéra avec une centaine de convives, Leurs Majestés se rendront à EuraTechnologies, l’un des plus grands incubateurs de start-ups d’Europe, avant de repartir pour Bruxelles en fin de journée.

Mondial de l’Automobile 2024 : Emmanuel Macron et son attachement à la voiture révélés

Emmanuel Macron à l'inauguration du 90e Mondial de l’Automobile de Paris

Ce lundi 14 octobre 2024, le 90e Mondial de l’Automobile de Paris a été inauguré par Emmanuel Macron. Une belle opportunité pour le Président de renouer avec des thématiques qui lui tiennent à cœur : la stratégie, l’économie et la souveraineté industrielles.

Quand Emmanuel Macron avoue avoir raté son permis de conduire : révélations et anecdotes sur sa relation avec la voiture

Le déplacement d’Emmanuel Macron pour l’inauguration de ce 90e Mondial de l’Automobile de Paris, est d’autant plus marquant que, depuis la nomination de Michel Barnier à Matignon, l’agenda du Président est principalement orienté vers les questions internationales. Cependant, quel est son rapport à la voiture ? Dans une séquence de BFMTV datant de 2014, le président de la République avait admis, en marge de ce même événement (au volant d’une Renault Zoe), qu’il n’a jamais été un conducteur modèle : « Lorsque je conduisais, j’aimais plutôt accélérer et sentir le moteur, donc je suis un très mauvais élève de ce côté-là, ne le répétez pas ! »

En 2018, Marianne révélait qu’Emmanuel Macron était titulaire du permis de conduire depuis 1998, obtenu à Amiens après l’obtention de son bac. Au printemps 2022, Emmanuel Macron confiait dans une interview à M6… avoir raté son permis la première fois ! « Il est rare d’obtenir son permis du premier coup », admettait-il. « Je l’ai raté une fois, oui, ce n’est pas très glorieux. » Désormais, en raison de ses fonctions, le président n’a plus besoin de conduire lui-même, se déplaçant dans une voiture avec chauffeur. En 2014, il avait d’ailleurs vendu sa voiture en arrivant à Bercy, selon Marianne.

En septembre 2023, Emmanuel Macron a exprimé sa passion pour la voiture lors d’un entretien télévisé mené par Laurent Delahousse et Anne-Claire Coudray. « Ce qui est très important pour les Français, c’est qu’on est très attachés à la voiture. On aime la bagnole, et moi, je l’adore », s’enthousiasmait-il à la veille de la présentation de sa stratégie face au changement climatique. Cette déclaration, largement commentée, faisait écho à Georges Pompidou, son prédécesseur.

Le roi Philippe et la reine Mathilde en France : les temps forts de leur visite d’État

Le couple présidentiel accueille le roi Philippe et la reine Mathilde à l'Elysée

Ce n’est pas un secret. La France et la Belgique ont connu quelques tensions ces dernières années, notamment sur les terrains de football. Mais, la visite du roi Philippe de Belgique et de la reine Mathilde, qui commence ce lundi 14 octobre en France, s’annonce sous les meilleurs auspices. Découvrez les temps forts de cette première journée de la visite d’État.

Visite royale en France : Philippe et Mathilde de Belgique rencontrent Emmanuel et Brigitte Macron

Alors que l’équipe de France se trouve en Belgique pour défier les Diables Rouges en Ligue des Nations, le roi Philippe et la reine Mathilde sont à Paris pour une visite d’État de trois jours. L’objectif est d’approfondir les relations bilatérales entre la France et la Belgique, notamment en matière de défense et d’économie. Lors de cette visite, ils ont été accueillis par le président Emmanuel Macron et son épouse Brigitte Macron lors d’une cérémonie à l’Arc de Triomphe. La Première dame a d’ailleurs assorti sa tenue à celle de la reine Mathilde, toutes deux vêtues de rouge, comme le montrent les photos dans notre diaporama. Le roi Philippe et le président Macron ont ensuite passé en revue les troupes avant de procéder aux traditionnels dépôts de gerbes et au ravivage de la flamme sur la tombe du Soldat inconnu.

Après ce moment solennel, le roi et la reine se sont rendus au Palais de l’Élysée pour un entretien avec le président. Un dîner d’État en leur honneur est prévu dans la soirée, mais avant cela, ils rencontreront le Premier ministre Michel Barnier lors d’un déjeuner à Matignon. Selon la présidence française, « cette visite est une nouvelle occasion de célébrer l’amitié fraternelle qui unit la France et la Belgique. »

Cette première journée marque le début d’un programme chargé pour le roi Philippe et la reine Mathilde lors de leur visite officielle en France.

Emmanuel Macron accueille la famille royale belge : une visite attendue depuis 21 ans

Le couple présidentiel à l'Elysée

C’est bien ce lundi 14 octobre que débute le séjour du roi Philippe et de la reine Mathilde de Belgique en France. Pendant quarante-huit heures, ils visiteront Lille et Paris. Emmanuel Macron a libéré son agenda pour accueillir le roi et la reine des Belges. Cet événement est exceptionnel, car il aura dû attendre près de vingt et un ans jour pour jour pour qu’un président français invite un monarque belge à une visite d’État en France, comme l’a rappelé Histoires Royales.

Visite d’État du roi Philippe en France : une nouvelle étape dans l’amitié franco-belge

Après leur arrivée en Eurostar à la Gare du Nord, les souverains belges seront reçus au palais de l’Élysée par Emmanuel et Brigitte Macron. Mais avant cela, une cérémonie protocolaire est prévue au pied de l’Arc de Triomphe. Des festivités attendues depuis plus de deux décennies. Bien que les voyages du roi Philippe et de la reine Mathilde en France soient fréquents, les visites d’État restent rares. Ce séjour a un caractère particulièrement exceptionnel, car il s’agit de la première visite d’État sortant du roi Philippe en 2024, poursuit le site spécialisé. Le couple belge, habituellement, répond à deux invitations par an. En principe, la première a lieu au printemps et la seconde au cours de l’automne

Emmanuel Macron, à la moitié de son deuxième mandat, s’apprête à rendre la pareille à Philippe de Belgique. Comme le rappelle Histoires Royales , la tradition veut que, lorsqu’un chef d’État reçoit son homologue, une visite d’État en retour soit planifiée dans les années suivantes. En 2018, le roi Philippe et la reine Mathilde avaient invité le président français et son épouse sur le sol belge. Cette semaine, les liens historiques et familiaux entre les deux pays seront mis en avant. Bien que les visites d’État soient rares, les rencontres entre les rois des Belges et les présidents français sont fréquentes. Ces derniers mois, Emmanuel Macron a croisé Philippe de Belgique lors de plusieurs événements, notamment les Jeux Olympiques de Paris 2024 et les cérémonies du Débarquement en Normandie.

Visite en Australie : Des responsables politiques australiens boycottent Charles III, la monarchie sous tension

Charles III

Du 18 au 26 octobre, le roi Charles III et son épouse Camilla seront en Océanie pour leur première tournée royale depuis l’annonce du cancer du monarque. Bien que le Palais espérait que ce voyage améliorerait la cote de popularité du souverain, cet objectif semble de plus en plus difficile à atteindre. Une « gifle », c’est ainsi que la presse britannique qualifie le revers infligé par plusieurs stars et hauts responsables politiques australiens à Charles III, quelques jours avant son arrivée.

Charles III face à une Australie républicaine : des ministres refusent de le rencontrer

D’après ce que rapporte The Mirror, plusieurs personnalités politiques australiennes ont déjà annoncé leur refus de rencontrer Charles III lors de son passage à Canberra. Aucun ministre d’État ne recevra ainsi le couple royal dans la capitale, malgré leur participation à divers événements visant à renforcer les relations diplomatiques. Ce dimanche 13 octobre, Jacinta Allan, Steven Miles, Roger Cook et Peter Malinauskas, Premiers ministres de Victoria, du Queensland, de l’Australie-Occidentale et de l’Australie-Méridionale, ont tous invoqué des engagements préexistants pour justifier leur absence lors de la visite du roi.

D’autres personnalités politiques ont suivi cet exemple. La porte-parole de la ligue monarchiste australienne, Bev McArthur, a rapidement exprimé sa déception face à ce qu’elle considère comme un manque de respect envers Charles III et la famille royale britannique. « Tous les Premiers ministres et ministres ont prêté serment d’allégeance à notre monarque, et c’est une insulte monumentale de rejeter sa main tendue en signe d’amitié », a-t-elle déclaré au Herald Sun.


Ce rejet survient alors que le roi Charles III a dû suspendre son traitement contre le cancer spécialement pour ce voyage. Cette tournée sera toutefois l’occasion pour lui de rencontrer les dirigeants du Commonwealth à Samoa, lors du 27e rassemblement des chefs de gouvernement. Bien que chaque Premier ministre ait justifié son absence par des raisons logistiques, cette décision est perçue comme un « profond manque de professionnalisme » au sein de la Couronne.

De nouveaux sondages réalisés en Australie suggèrent que le soutien à une République australienne a atteint son niveau le plus bas sous le règne de Charles III. Selon le Sunday Mail, un Australien sur quatre a une opinion plus favorable du roi qu’avant son couronnement. Parmi les 1 049 personnes interrogées dans le sondage NewsCorps Pulse of Australia, seulement 33 % ont déclaré que l’Australie devrait devenir une République. Lors du référendum de 1999, 39,4 % des électeurs s’étaient prononcés en faveur d’une République. Bien que la Couronne affirme que ces désistements ne compromettent pas la tournée royale, ces décisions sont vues comme un camouflet pour Charles III.

Décès de Michel Meurdesoif, ancien maire d’Aniche : la commune sous le choc

Michel Meurdesoif

À Aniche, c’est une vive émotion depuis ce samedi 12 octobre après l’annonce du décès de Michel Meurdesoif, une figure incontournable de la ville. Ancien maire pendant 25 ans, de 1989 à 2014, Michel Meurdesoif a joué un rôle clé dans la gestion de la commune et restait encore actif au sein du conseil municipal actuel.

La nouvelle de sa disparition a profondément touché les habitants. Dans un hommage publié sur les réseaux sociaux de la ville, l’actuel maire a exprimé sa grande tristesse pour « un homme d’action, toujours dévoué à servir sa commune et ses habitants ».

« Bien que nos convictions politiques différaient, Michel était un homme de conviction et un pilier pour Aniche. Il a œuvré sans relâche pour le bien de notre commune », a déclaré le maire Xavier Bartosek, qui déplore la perte « d’un des enfants les plus dévoués d’Aniche. »

Élysée : Emmanuel et Brigitte Macron privés de travaux qui leur apporteraient plus de confort

Le couple présidentiel à l'Elysée

Ces dernières années, l’Élysée se transforme pour protéger l’environnement. Si un gros chantier est en cours concernant le chauffage, il semblerait que la rénovation de l’isolation des fenêtres ne rentre pas dans le budget. Une petite mauvaise nouvelle pour Emmanuel et Brigitte Macron.

Dans un élan de favoriser l’écologie et de protéger l’environnement, l’Élysée adopte des mesures en ce sens. Ruche, compost, absence de produits phytosanitaires dans les jardins, recyclage des restes alimentaires… Plusieurs initiatives ont été mises en place. Alors que l’hiver approche, les travaux de chauffage sont en cours de finalisation. « Dès cet hiver pour le chauffage et au printemps pour la climatisation. Les hôtels d’Évreux et de Marigny (autres noms donnés à l’Élysée) seront chauffés par un mix de géothermie et de chauffage urbain, ce qui permettra de décarboner à 87 % et de démonter nos quatre chaudières à gaz », explique Yannick Desbois, directeur général des services.

En plus de ces travaux, la rénovation de l’isolation des plafonds et des murs est étudiée, toutefois il semblerait que celle des fenêtres ne fasse pas partie du projet, par manque d’argent. « On n’a pas les moyens financiers et techniques pour passer en double vitrage. Nous sommes tenus par la classification monument historique », confie Yannick Desbois. Et il semblerait qu’Emmanuel Macron veille à ce que les travaux entrepris au sein de la demeure présidentielle soient fait dans les règles, pour protéger le monument. « Rien ne se fait sans son autorisation », ajoute le directeur général des services de l’Élysée.

Les Macron au Touquet : face à une nouvelle résidence de luxe

A chaque fois que l’occasion se présente, Emmanuel et Brigitte Macron s’évadent de la vie parisienne pour rejoindre leur demeure au Touquet. La Première Dame est propriétaire de la villa Monéjan, située en plein cœur du triangle d’or de la ville. Pour rappel, c’est aussi là-bas que le couple présidentiel se rend pour voter à chaque élection. Mais les époux vont devoir s’adapter à un changement majeur. Comme le rapporte Le Figaro, une résidence comprenant dix logements haut de gamme, de 80 à 150 m², a été construite juste en face de chez eux. Ce nouveau bâtiment, baptisé les « Villas Saint-Jean », se compose également d’un magasin de vêtements d’une surface de 300 m². La propriété « se démarque de l’architecture classique des maisons touquettoises » et vient combler une « dent creuse », un espace non construit entouré de parcelles bâties, selon le promoteur de la résidence.

Charlotte Gainsbourg en larmes lors de l’hommage du Crif aux victimes de l’attaque du Hamas

Charlotte Gainsbourg

Ce lundi 7 octobre 2024, c’était la grande émotion au rassemblement organisé par le Crif à Paris, où environ 4 000 personnes ont assisté à une cérémonie d’hommage dans la salle du Dôme, dans le 15ᵉ arrondissement, un an après l’attaque du Hamas contre Israël. Charlotte Gainsbourg a coulé les larmes.

Hommage du Crif à Paris : Charlotte Gainsbourg, Michel Barnier et des personnalités politiques rendent hommage aux victimes du 7 octobre

La soirée a débuté par la projection de vidéos retraçant la fondation et l’histoire d’Israël jusqu’au festival Nova du 7 octobre 2023, suivie de captures d’écran et de messages vocaux envoyés par les participants au moment de l’attaque, comme « Ils sont partout » ou encore « Ils enlèvent des gens ». Une minute de silence a ensuite été enregistrée par l’assistance, debout, où l’on a pu voir de nombreux ministres, dont le Premier ministre Michel Barnier, qui a prononcé un discours.

Avant lui, le président du Crif, Yonathan Arfi, avait lancé un message fort en déclaré que « Rien ni personne n’échappe au 7-Octobre » car « cette journée restera à jamais entachée par le sang des victimes ». L’ancien président François Hollande était également présent, tout comme Valérie Pécresse, Xavier Bertrand, Nicolas Sarkozy, Manuel Valls, ainsi que d’autres personnalités telles que l’écrivain Bernard-Henri Lévy, l’actrice Sandrine Kiberlain, le dessinateur Joann Sfar et Charlotte Gainsbourg, émue aux larmes au moment de la lecture, avec son compagnon Yvan Attal, d’un long texte d’hommage aux victimes. Patrick Bruel et Amir étaient également présents et ont chanté sur scène.

L’émotion était intense dans le public, parfois mêlée de colère, notamment contre la prise de position du chef de l’État, Emmanuel Macron, en faveur de l’arrêt des livraisons d’armes à Israël. « C’est aberrant, une honte », a déclaré à l’AFP Edmond Sinelnikoff, 75 ans, dans le fichier d’attente du Dôme. Un autre participant, portant un ruban jaune au poignet en solidarité avec les otages, a ajouté que « ces otages, on a l’impression qu’ils ont été oubliés », et que « n’importe quel Juif s’est senti profondément attaqué , cela a réveillé des souvenirs enfouis » après le 7 octobre 2023.

Certaines personnes étaient également présentes en signe de solidarité, bien qu’elles ne soient pas juives. C’est le cas de Louise, 28 ans, qui a confié à l’AFP : « Je pense que tout le monde devrait être là. J’aimerais voir des gens non concernés se révolter », a-t-elle ajouté. Pour rappel, l’attaque du Hamas, le 7 octobre 2023 en Israël, a fait 1 205 morts, selon un décompte de l’AFP basé sur les chiffres officiels israéliens, incluant également les otages tués en captivité dans la bande de Gaza. En outre, plus de 41 870 Palestiniens ont été tués dans la campagne militaire israélienne de représailles sur la bande de Gaza, principalement des civils, selon les données du ministère de la Santé du gouvernement du Hamas pour Gaza, jugées fiables par l’ONU.

Commémoration du 7 octobre : « C’est comme si 30 000 terroristes étaient entrés en France », Arthur

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L’animateur Arthur était l’invité d’Apolline de Malherbe sur BFMTV et RMC ce lundi 07 octobre 2024. Un an après les attentats du Hamas en Israël, il est revenu sur ce « traumatisme collectif et solitaire » qui se caractérise aujourd’hui par « une plaie ouverte qui ne cicatrise pas ».

Arthur : Retour bouleversant sur les attentats du Hamas un an après

7 octobre 2023 – 7 octobre 2024, cela fait déjà un an, jour pour jour, que les attentats du Hamas ont eu lieu en Israël. Les terroristes ont tué près de 1 200 personnes et pris 96 otages. En ce lundi 7 octobre 2024, 63 Israéliens sont encore présumés vivants et aux mains du Hamas. En France, les juifs doivent vivre avec ce traumatisme et la recrudescence des actes antisémites. Un an après, l’animateur et producteur Arthur, l’un des visages les plus médiatiques de la communauté juive, est revenu, lundi matin, sur BFMTV et RMC, sur ce « traumatisme collectif et solitaire » qui a marqué et marque encore sa vie. « Le 7 octobre restera la pire journée de toute ma vie. C’est une blessure, une plaie ouverte qui ne cicatrise pas. »

« Pour bien comprendre, à l’échelle de la France, c’est dix fois les attentats que nous avons vécus. C’est comme si 30 000 terroristes étaient entrés en France et avaient massacré 12 000 personnes », a expliqué Arthur. Si les juifs d’Israël ont vécu ces massacres dans leur chair, ceux du monde entier l’ont ressenti et le ressentent encore un an après. « Vous n’imaginez pas le traumatisme que c’est. Israël est né de la Shoah. C’est le refuge des juifs du monde entier. (…) Pour la première fois, Israël a été frappé au cœur. Ce traumatisme, les juifs du monde entier le vivent désormais. Alors oui, je pleure. Je pleure tous les jours », a également déclaré Arthur, qui se mobilise chaque jour pour la libération des derniers otages israéliens encore détenus par le Hamas.

Depuis le 7 octobre 2023, Arthur l’assure : son quotidien a changé. Les menaces à son encontre, lui, le « seul juif de TF1 » comme il le dit lui-même, ont redoublé. « Je suis accompagné et protégé 24 heures sur 24 », a-t-il ainsi expliqué. « Je vais une fois par semaine au commissariat du 16e déposer une clé USB avec toutes les menaces que je reçois et toutes les insultes. » Ce drame a aussi changé son rapport aux autres et réduit son cercle social. Arthur a dû faire le tri parmi ses amis et n’a aujourd’hui plus de contact avec ceux qui « ont manqué cruellement » d’empathie envers lui et les juifs. « J’ai perdu des gens pour qui j’avais beaucoup d’affection, mais j’ai rencontré des gens formidables. (…) L’humanisme, ça ne s’invente pas. »

Emmanuel Macron a lui également réagi en ce 7 octobre sur X.

Sommet de la Francophonie : Michel Barnier et sa femme, la grande classe au palais de l’Élysée

Michel Barnier

Ce vendredi 4 octobre s’est ouvert le XIXe Sommet de la Francophonie au château de Villers-Cotterêts, en Picardie. Il est placé sous le thème « Créer, innover et entreprendre en français ». Un sommet qui a réuni des dizaines de chefs d’État et de gouvernement. Le soir même, le président Emmanuel Macron a convié de nombreuses personnalités à un dîner exceptionnel au palais de l’Élysée. Parmi elles figuraient le prince Albert de Monaco, l’humoriste Gad Elmaleh, le Premier ministre canadien Justin Trudeau, et la ministre de la Culture Rachida Dati. Michel Barnier, nouveau Premier ministre, était également présent avec son épouse.

Michel Barnier et Isabelle Altmayer : un couple chic et complice lors du Sommet de la Francophonie

Le couple Barnier a fait sensation lors de sa première sortie officielle à l’Élysée. Main dans la main, ils ont affiché une élégance remarquable. Michel Barnier portait un smoking noir classique et chic, tandis qu’Isabelle Altmayer arborait une superbe robe longue ivoire, cintrée à la taille et ornée de boutons sur le haut, dévoilant un sublime collier. Elle portait également un trench long assorti, ainsi qu’un petit sac noir, créant ainsi un look à la fois raffiné et sophistiqué. Les deux étaient radieux pour cette soirée exceptionnelle.

Les photos des personnalités invitées par Emmanuel Macron sont relayées ici par Gala.

Mariés depuis 1982, Michel Barnier et Isabelle Altmayer ont trois enfants, dont des jumeaux : Nicolas, Benjamin et Lætitia. Ancienne avocate pendant dix ans, Isabelle Altmayer s’est ensuite tournée vers la communication. Depuis 2016, elle est responsable de la communication et de la recherche de fonds pour la fondation La Vie au Grand Air. Elle a également été chargée de mission auprès de la jeunesse et de la santé des femmes au ministère de la Santé, sous la direction de Roselyne Bachelot, entre 2007 et 2010. À cette époque, son mari Michel Barnier était ministre de l’Agriculture dans le gouvernement Fillon.

Santé de Charles III : Des nouvelles rassurantes malgré son cancer

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Le roi Charles III, actuellement en traitement pour un cancer diagnostiqué au début de l’année, continue de rassurer sur son état de santé. Alors que lui et la reine Camilla s’apprêtent à partir en voyage officiel en Australie et aux Samoa le mois prochain, Tom Parker-Bowles, fils de Camilla et critique gastronomique, a donné des nouvelles positives sur la santé de son beau-père.

Charles III, atteint de cancer : le fils de Camilla donne des nouvelles positives

Lors d’une interview pour la promotion de son nouveau livre de cuisine *Cooking and The Crown*, Tom Parker-Bowles a révélé que le traitement de Charles III se déroulait bien. Selon lui, « le médecin dit que le traitement se passe bien », ce qui laisse espérer une évolution favorable de la maladie. Il a également ajouté que Camilla, qui soutient le roi dans cette épreuve, fait preuve de beaucoup de force : « Elle est dure, ma mère », a-t-il déclaré.

Le voyage en Australie et aux Samoa sera le premier déplacement officiel du roi depuis l’annonce de sa maladie. Charles et Camilla séjourneront en Australie du 18 au 24 octobre, avant de se rendre aux Samoa pour la réunion des chefs de gouvernement du Commonwealth. Bien que ces déplacements soient exigeants, des précautions ont été prises pour préserver l’énergie du couple royal. Un porte-parole de Buckingham a précisé : « Nous avons dû adapter l’itinéraire pour nous assurer que Leurs Majestés soient au meilleur de leur forme. »

Le cas de Charles III, confronté à un cancer tout en poursuivant ses devoirs royaux, rappelle d’autres monarques ayant géré des problèmes de santé tout en assumant leurs responsabilités. George VI, le père d’Elizabeth II, a dû faire face à un cancer du poumon et des troubles de santé cardiaque pendant son règne. Malgré son état, il a continué à servir son pays jusqu’à sa mort en 1952. Plus récemment, le roi Harald V de Norvège a surmonté plusieurs opérations, dont une intervention pour un cancer de la vessie, tout en restant à la tête de la monarchie norvégienne.

Malgré ces ajustements, l’objectif principal de Charles III reste de guérir et d’achever son traitement. Sa rémission serait un soulagement, tant pour lui que pour ses proches et ses sujets. En attendant, le roi continue d’honorer ses engagements royaux tout en veillant attentivement à sa santé.

« Je pense à ma famille » : Éric Dupond-Moretti ému lors de sa passation de pouvoir avec Didier Migaud

Éric Dupond-Moretti

Ce lundi 23 septembre 2024, Éric Dupond-Moretti a effectué la passation de pouvoir à Didier Migaud, devant le ministère de la Justice. Le ministre sortant a tenu à adresser quelques mots à sa famille et à sa compagne depuis 2016, Isabelle Boulay.

Éric Dupond-Moretti passe le flambeau à Didier Migaud : un discours émouvant devant le ministère de la Justice

Suite à l’annonce du nouveau gouvernement de Michel Barnier le 21 septembre 2024, les ministres quittent progressivement leurs fonctions. À cette occasion, Éric Dupond-Moretti a partagé des réflexions émouvantes sur son mandat. Dans son discours, retransmis en direct sur plusieurs chaînes d’infos, il a déclaré, très ému : “Je pense aussi à ma famille… À ma mère, à ma compagne qui a accepté que nous mettions notre vie personnelle entre parenthèses, à mes enfants.”

En évoquant son parcours, Éric Dupond-Moretti a cité un proverbe que sa mère lui a appris. Après l’avoir énoncé en italien, il a donné la traduction : “Il faut du vent dans les églises, mais pas au point d’éteindre les bougies.” Selon lui, ce proverbe fait “l’éloge de la nuance”. Il a également tenu à s’adresser à Emmanuel Macron, affirmant : “Ces quatre années au ministère de la Justice me marqueront à jamais. Je veux sincèrement remercier le président de la République de la confiance qu’il m’a accordée en me nommant à ce poste. Je lui rends hommage.”

Éric Dupond-Moretti a ajouté : “Je laisse beaucoup de moi, mes doutes, mes réflexions, mes convictions. Et vous l’imaginez, c’est avec beaucoup d’émotion que je quitte mes fonctions et les personnes qui m’entourent.” Il a évoqué ses fiertés et ses regrets durant ses quatre années à ce poste, tout en remerciant ceux qui ont contribué à ses accomplissements : “Ces moyens, nous les devons aux magistrats, aux greffiers, aux contractuels, aux personnels administratifs, aux surveillants pénitentiaires et aux éducateurs, qui chaque jour dédient leur vie professionnelle, et souvent personnelle, au service public de la justice. C’est évidemment à eux que je pense en cet instant,” a-t-il expliqué. Il a conclu : “J’ai été fier d’être votre ministre.”

Gérald Darmanin passe le relais à Bruno Retailleau : « Nous avons fait des erreurs, mais de notre mieux »

Gérald Darmanin

Ce lundi 23 septembre 2024, Bruno Retailleau est officiellement devenu ministre de l’Intérieur au sein du gouvernement de Michel Barnier. Il a été accueilli par son prédécesseur, Gérald Darmanin, qui lui a adressé un discours marquant.

Ministère de l’Intérieur : Bruno Retailleau prend ses fonctions, Gérald Darmanin fait ses adieux

« Je pars avec le sentiment d’avoir servi mon pays du mieux que je pouvais », a déclaré l’ex-ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin lors de la passation de pouvoir avec Bruno Retailleau ce lundi matin. Il a remercié Emmanuel Macron pour la confiance accordée pendant plus de sept ans. « Il n’y a pas plus grand honneur que de servir son pays dans des fonctions aussi prestigieuses. »

Il a ajouté : « Bien sûr, nous avons commis des erreurs, mais nous avons toujours fait de notre mieux ». Gérald Darmanin a également rendu un hommage appuyé aux forces de l’ordre, qu’il a qualifiées de « héros discrets », et a exprimé son émotion pour les agents blessés et ceux qui ont perdu la vie en service.

S’adressant à son successeur, Darmanin a déclaré : « Vous avez la chance exceptionnelle d’être nommé au ministère de l’Intérieur, le ministère le plus social qui soit. À partir d’aujourd’hui, vous êtes le protecteur de l’ensemble des Français. » Il a conclu en souhaitant sincèrement à Bruno Retailleau et à Michel Barnier une réussite, ajoutant que « la réussite de ce gouvernement sera celle de la France, et je la soutiendrai à ma modeste place ».

Michel Barnier défend son gouvernement et répond à ses détracteurs sur France 2

Michel Barnier, Premier ministre

Après avoir dévoilé samedi les noms de son gouvernement, Michel Barnier est venu s’expliquer chez Laurent Delahousse ce dimanche 22 septembre. Il a également clarifié sa nomination à Matignon.

Barnier à Matignon : une nomination surprise expliquée sur France 2

Michel Barnier est devenu résident de l’hôtel de Matignon depuis le 5 septembre dernier, à la demande d’Emmanuel Macron, après les résultats des élections législatives. L’ancien ministre délégué aux Affaires européennes sous la présidence de Jacques Chirac a annoncé ce samedi 21 septembre la composition de son gouvernement, après de nombreuses consultations. Une liste inattendue pour une grande partie de la classe politique, jugée difficile à tenir, comme l’a rappelé Laurent Delahousse sur le plateau de France 2 ce dimanche 22 septembre. Le Premier ministre était alors invité à discuter de son nouveau gouvernement et de la politique à venir. L’occasion pour lui de clarifier les conditions de sa nomination, Michel Barnier assurant qu’il ne s’était pas « roulé par terre pour devenir Premier ministre. »

Michel Barnier a expliqué qu’il n’imaginait pas prendre la tête du gouvernement, même s’il se sentait « prêt » à succéder à Gabriel Attal. Il a précisé : « Je ne suis pas Premier ministre à tout prix, j’ai simplement envie de servir mon pays. Je le fais depuis très longtemps, depuis ma première élection en Savoie. » Il a ajouté qu’il accomplissait cette mission avec « la même capacité d’enthousiasme et la même capacité d’indignation que celle que j’avais lorsque j’ai été élu pour la première fois. » Il avait alors 22 ans et venait d’être élu conseiller général de la Savoie pour le canton de Bourg-Saint-Maurice.

Michel Barnier a également tenu à expliquer les choix concernant les membres de son nouveau gouvernement. Face à Laurent Delahousse et aux téléspectateurs de France 2, le locataire de Matignon a affirmé : « Je veux servir, et tous les ministres qui m’accompagnent veulent servir leur pays dans un moment extrêmement grave. » Il a également souligné que tous feront usage d’une « culture » qu’il connaît bien par son expérience en politique locale et européenne, mais qui, selon lui, manque à Paris : celle du « compromis ».

Bruno Le Maire quitte Bercy en offrant un cadeau inattendu à Antoine Armand

Bruno Le Maire, ex ministre de l'économie.

Ce samedi 21 septembre, Bruno Le Maire a officiellement fait ses adieux au ministère de l’Économie après sept années à Bercy. Lors d’un discours d’adieu marqué par l’humour, il a passé le relais à son successeur Antoine Armand, tout en lui offrant un cadeau symbolique et surprenant : un makila basque.

Un départ marqué par l’humour : Bruno Le Maire offre un cadeau insolite à son successeur Antoine Armand

Bruno Le Maire a quitté officiellement ses fonctions de ministre de l’Économie ce samedi 21 septembre, après sept années de service. À cette occasion, il a prononcé un discours d’adieu pour accueillir son successeur, Antoine Armand, 33 ans, macroniste et spécialiste des questions énergétiques. À la fin de son intervention, Bruno Le Maire, qui va devenir professeur dans une université suisse, a offert à son successeur un cadeau inattendu.

« Tu es Savoyard, enfin, Haut-savoyard – soyons précis. Les Savoyards sont à la mode. C’est une bonne chose pour la France, car je connais leur tempérament : courageux, travailleur, obstiné, modeste. Ce sont exactement les qualités dont la France a besoin en ce moment », a-t-il déclaré.

Puis, en révélant être basque d’adoption, Bruno Le Maire a sorti un grand bâton en bois, un makila basque. « Le makila est un bâton de marche. Il t’aidera donc à franchir les cols. Mais il est aussi une arme de défense. Il t’aidera à affronter les nombreux périls que tu rencontreras sur ton chemin. Je te souhaite le meilleur, cher Antoine », a-t-il ajouté avec une touche d’ironie, avant de lui offrir cet objet plein de symbolisme.

Maud Bregeon, nouvelle porte-parole du gouvernement: ce que l’on sait sur sa vie privée

Maud Bregeon, porte-parole du gouvernement

Maud Bregeon a été choisie par Michel Barnier ce samedi 21 septembre 2024 comme nouvelle porte-parole du gouvernement. Découvrez tout ce qu’il faut savoir sur cette jeune femme politique.

Maud Bregeon, la discrète nouvelle porte-parole du gouvernement, dévoile son histoire familiale

Le nouveau Premier ministre Michel Barnier a finalement révélé la composition de son gouvernement ce samedi 21 septembre 2024. Maud Bregeon a été désignée comme porte-parole du gouvernement. Côté vie privée, cette femme politique de 33 ans, originaire de Poitiers, reste très discrète. Cependant, on sait qu’elle est en couple, bien qu’elle ait toujours refusé de donner plus d’informations sur sa relation.

Sur sa famille, Maud Bregeon a dévoilé un peu plus. Son père avait quitté l’école à 14 ans pour devenir bûcheron en Vendée, avant de reprendre ses études pour devenir éducateur spécialisé, tandis que sa mère travaillait dans un centre pour demandeurs d’asile. Dans un portrait publié par Libération en 2022, Maud Bregeon avait révélé que ses parents étaient pour elle des modèles de résilience. Elle avait également évoqué la « remontada sociale » de sa famille en parlant de ses parents et de sa sœur aînée.

Maud Bregeon n’a pas commencé sa carrière en politique, mais en tant qu’ingénieure, dans un domaine spécifique : le nucléaire civil. Elle a travaillé pour EDF dans une unité créée après l’accident de Fukushima, dont l’objectif était de gérer les interventions en cas de catastrophe grave. Par la suite, elle s’est lancée en politique. En 2020, elle s’était notamment fait remarquer en se présentant aux élections municipales de Levallois-Perret contre Patrick Balkany. Bien que sa liste n’ait pas remporté l’élection, son alliance avec Arnaud de Courson lui a permis de s’imposer comme une figure montante.

En 2022, elle est devenue députée de la 13e circonscription des Hauts-de-Seine, tout en étant porte-parole du parti d’Emmanuel Macron, Renaissance. Dans ce rôle, elle s’est spécialisée sur les questions énergétiques, notamment le nucléaire. En 2024, Michel Barnier a donc choisi une femme tournée vers l’avenir pour assurer sa communication. Ayant déjà assuré le rôle de porte-parole d’un parti politique, elle devrait s’épanouir pleinement dans ses nouvelles fonctions.

Le gouvernement de Michel Barnier est formé : découvrez les nouveaux ministres

Michel Barnier, Premier ministre

Ce samedi 21 septembre, Michel Barnier a constitué son gouvernement, deux semaines après sa nomination. Découvrez les ministres nommés et ceux qui restent au gouvernement.

Michel Barnier présente son gouvernement : un nouveau souffle pour la politique française

En dévoilant son gouvernement ce samedi, Michel Barnier a nommé Didier Migaud (Divers gauche) à la Justice, tandis qu’Antoine Armand (Renaissance) remplace Bruno Le Maire au poste de ministre de l’Économie. Laurent Saint-Martin devient ministre auprès du Premier ministre, chargé du budget et des comptes publics. Geneviève Darrieussecq (MoDem) prend le ministère de la Santé, Paul Christophe (Horizons) est nommé ministre des Solidarités, de l’autonomie et de l’égalité entre les femmes et les hommes. Valérie Létard devient la nouvelle ministre du Logement et de la Rénovation urbaine. Annie Genevard (LR) est affectée à l’Agriculture, tandis qu’Agnès Pannier-Runacher est désormais ministre de la Transition écologique.

Au ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, Patrick Hetzel prend ses fonctions. Le maire de Châteauroux, Gil Avérous (ex-LR), est nommé ministre des Sports, de la Jeunesse et de la Vie associative, alors que la sénatrice Laurence Garnier (LR), initialement pressentie pour la Famille, devient secrétaire d’État à la Consommation. Guillaume Kasbarian (Renaissance) est le nouveau ministre de la Fonction publique, de la Simplification et de la Transformation de l’action publique. François Noël Buffet (LR) est nommé au ministère des Outre-mer.

Bien que Michel Barnier ait effectué de nombreux changements, certaines figures du gouvernement Attal restent en place. Certains ministres conservent leur portefeuille, tandis que d’autres changent de ministère. Sébastien Lecornu (Renaissance) est ainsi maintenu au ministère des Armées. Catherine Vautrin (LR), anciennement ministre du Travail, de la Santé et des Solidarités, hérite du ministère du Partenariat avec les Territoires et de la Décentralisation. Astrid Panosyan-Bouvet (Renaissance) la remplace au ministère du Travail. Enfin, Rachida Dati (Divers droite), pressentie pour le ministère de l’Éducation nationale, conserve finalement celui de la Culture, tandis qu’Anne Genetet (Renaissance) est nommée à l’Éducation nationale. Jean-Noël Barrot (MoDem), jusque-là ministre délégué chargé de l’Europe, récupère les Affaires étrangères.

Annulation de la visite présidentielle : Emmanuel et Brigitte Macron ne rencontreront pas Stéphane Bern

Emmanuel Macron et Brigitte Macron annulent leur visite en Bretagne

Emmanuel Macron et Stéphane Bern devaient se retrouver pour les Journées du Patrimoine, mais le rendez-vous a été annulé.

Problèmes météorologiques : la rencontre entre Emmanuel Macron et Stéphane Bern reportée


Entre Emmanuel Macron et Stéphane Bern, c’est une histoire qui dure. L’animateur a toujours apporté son soutien au président de la République, notamment lors des élections européennes de juin dernier. Ce soutien s’est transformé en amitié, surtout avec Brigitte Macron, que le compagnon de Yori Bailleres décrit comme une amie chère. Le couple présidentiel devait initialement retrouver le présentateur de Secrets d’Histoire ce vendredi 20 septembre sur l’Île aux Moines, dans l’archipel des Sept-Îles des Côtes-d’Armor, pour la 41ᵉ édition des Journées européennes du Patrimoine. Cependant, le déplacement a été annulé.

Comme annoncé par l’Élysée le jeudi 19 septembre, Emmanuel et Brigitte Macron sont contraints d’annuler leur venue en Bretagne en raison de « contraintes météorologiques ». Selon Le Parisien, le plafond nuageux serait trop bas pour permettre l’atterrissage de l’avion présidentiel ce jour-là. Le Palais de l’Élysée a précisé que cette annulation n’a aucun lien avec le calendrier politique.

Mélania Trump raconte tout : son passé de mannequin et sa vision de l’art

Melania Trump se confie

Melania Trump s’apprête à livrer sa vérité dans ses mémoires, disponibles à la vente dès le 1er octobre. L’épouse de Donald Trump, habituellement discrète, semble prête à s’exprimer par écrit après des années passées dans l’ombre de son mari. Elle partage ses réflexions et ses expériences dans un ouvrage intitulé simplement « Melania ».

Mémoires de Melania Trump : une carrière artistique et des révélations inédites

Avant de devenir la femme du 45e président des États-Unis, Melania Trump s’était déjà fait un nom dans le monde du mannequinat. Repérée par un photographe slovène à l’âge de 16 ans, elle signe ensuite avec une agence à Milan, marquant ainsi le début de sa carrière sur la scène européenne. Elle enchaîne les shootings en Italie et à Paris, avant de s’installer à New York en 1996. Melania Trump, qui a fait plusieurs couvertures de grands magazines comme GQ en 2000, n’a jamais hésité à poser nue, assumant sa silhouette sans complexe.

Dans une vidéo publiée sur son compte X le 18 septembre, elle revient sur cette nudité assumée au cours de sa carrière, citant comme exemples les nombreuses œuvres d’art – peintures et sculptures – qui représentent le corps humain de manière artistique. « Pourquoi les médias ont-ils choisi de scruter ma célébration du corps humain lors d’une séance photo de mode ? », s’interroge-t-elle, ajoutant avec assurance : « Ne sommes-nous plus capables d’apprécier la beauté du corps humain ? »

Melania Trump encourage dans sa vidéo à « honorer notre corps et à embrasser la tradition intemporelle de l’art comme puissant moyen d’expression personnelle ». Elle a également publié une autre vidéo le 5 septembre, où elle annonce face caméra et en noir et blanc son intention de partager « son histoire, sa perspective, sa vérité » dans cet ouvrage qui retrace son parcours.

Après Taylor Swift, Billie Eilish rejoint le camp de Kamala Harris pour la présidentielle américaine

Billie Eilish et son frère Finneas soutiennent Kamala Harris

Billie Eilish et son frère Finneas annoncent leur soutien à Kamala Harris dans la course à la Maison-Blanche.

Un soutien de poids : Billie Eilish et Finneas appellent à voter pour Kamala Harris et Tim Walz

C’est un deuxième soutien de taille pour l’actuelle vice-présidente des États-Unis, Kamala Harris. Après celui de Taylor Swift, qui avait entraîné une forte hausse des inscriptions sur les plateformes électorales, la chanteuse américaine Billie Eilish et son frère Finneas s’alignent derrière la candidate démocrate pour l’élection présidentielle.

Les deux artistes pop, immensément populaires, appellent les Américains à s’inscrire sur les listes électorales et à voter par anticipation. « C’est la journée nationale d’inscription sur les listes électorales. Nous votons pour Harris-Walz. Le choix est clair », ont-ils annoncé sur Instagram. Billie Eilish ajoute : « Nous allons voter pour Kamala Harris et Tim Walz parce qu’ils se battent pour protéger le droit des femmes à disposer de leur corps, notre planète, et notre démocratie. Votez comme si votre vie en dépendait, parce que c’est le cas. »

Son frère Finneas a renforcé ce message en déclarant : « Nous ne pouvons pas laisser des extrémistes contrôler nos vies, nos libertés, et notre avenir. La seule façon de les arrêter, eux et le dangereux programme du Project 2025, c’est de voter et d’élire Kamala Harris. »

Mondialement connue, Billie Eilish, déjà récompensée de nombreux Grammy Awards, continue d’utiliser sa notoriété pour encourager l’engagement politique, rappelant ainsi l’importance de la participation des jeunes dans les prochaines élections.

Tirs à Trump International : Donald Trump « très fier » du travail des forces de l’ordre

Donald Trump rassure après l'incident au golf

Au lendemain des tirs survenus au parcours de golf Trump International en Floride, où Donald Trump se trouvait, l’ancien Président des États-Unis a pris la parole. Sur son compte X, il a exprimé sa gratitude envers les forces de l’ordre.

Incident au Golf Trump International : Donald Trump loue le travail des services de sécurité

Ce dimanche 15 septembre 2024, des tirs ont eu lieu près de Trump International, où Donald Trump jouait au golf. Bien que les détails précis sur l’emplacement exact et le moment des événements restent flous, l’incident a suscité une vive inquiétude, surtout après que l’ancien président ait échappé de justesse à une menace il y a quelques semaines.

Le Secret Service a annoncé sur X qu’il « enquêtait avec le bureau du shérif du comté de Palm Beach sur un incident impliquant l’ancien président Donald Trump, survenu peu avant 14 heures [20 heures à Paris] ». Malgré la situation préoccupante, Trump est sain et sauf. Ce lundi, il a enfin rompu le silence.

« Je voudrais remercier tout le monde pour votre inquiétude et vos bons vœux. C’était certainement une journée intéressante ! Plus important encore, je tiens à remercier les services secrets américains, le shérif Ric Bradshaw et son bureau de patriotes courageux et dévoués, ainsi que tous les services chargés de l’application de la loi, pour le travail incroyable effectué aujourd’hui à Trump International pour assurer ma SÉCURITÉ, en tant que 45e président des États-Unis et candidat républicain à la prochaine élection présidentielle. LE TRAVAIL ACCOMPLI ÉTAIT ABSOLUMENT EXCEPTIONNEL. JE SUIS TRÈS FIER D’ÊTRE AMÉRICAIN ! », a écrit Donald Trump sur X.