Présidentielles aux États-Unis : Quand les critiques de Donald Trump contre Beyoncé se transforment en chanson

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Ces dernières heures, les critiques de Donald Trump contre la vice-présidente Kamala Harris et Beyoncé ont été transformées en chanson. Elles sont par ailleurs devenues un hymne festif pour de nombreux internautes.

Donald Trump, ses critiques contre Beyoncé transformées en chanson

À seulement quelques jours des élections, les commentaires de Donald Trump sur la présence de Beyoncé lors du meeting de Kamala Harris dans sa ville natale de Houston (États-unis) ont été transformés en chanson. « Personne n’est aux commandes. Joe Biden dort, Kamala est à une soirée dansante avec Beyoncé« , a déclaré l’ancien président lors d’un rassemblement le 25 octobre à Traverse City (États-unis). Des propos qui ont rapidement été remixés par le DJ iMarkkeyz, déjà célèbre pour son remix viral de la phrase de Cardi B «coronavirus !!», au début de la pandémie de COVID-19.

Un soutien de taille intitulé «Beyoncé», le remix reprenant la phrase de Donald Trump sur des extraits de la chanson «Partition» (2013) a fait sensation sur TikTok, où il a été largement adopté par les fans de Beyoncé et les partisans de Kamala Harris. Beyoncé, accompagnée de son ancienne collègue des Destiny’s Child, Kelly Rowland, et de sa mère Tina Knowles, a soutenu publiquement la candidature de la vice-présidente, déclarant à la foule : « Nous sommes au bord d’un changement incroyable. Au bord de l’histoire. Je ne suis pas ici en tant que célébrité, je ne suis pas ici en tant que politicienne, je suis ici en tant que mère.« 

« Une mère qui se soucie profondément du monde dans lequel mes enfants et tous nos enfants vivent. Un monde où nous avons la liberté de contrôler notre corps. Un monde où nous ne sommes pas divisés. Notre passé, notre présent, notre futur fusionnent pour nous rencontrer ici« , a-t-elle ajouté.

Voyage d’État : pourquoi Emmanuel et Brigitte Macron se rendront au Maroc

Le couple présidentiel à l'Elysée

A partir du lundi 28 octobre et ce jusqu’au mercredi 30 octobre 2024, Emmanuel Macron et Brigitte Macron se rendront au Maroc. Ceci, suite à l’invitation du roi Mohammed VI. Selon ce que rapporte Gala, on connait les premiers détails de ce voyage d’État.

Visite d’État au Maroc : Emmanuel Macron invité par Mohammed VI, un dîner royal prévu

Après avoir reçu Philippe et Mathilde de Belgique lors d’une visite d’État en octobre, Emmanuel Macron va bientôt s’entretenir avec une autre tête couronnée. Le président de la République a été invité par Mohammed VI à séjourner avec son épouse, Brigitte Macron, au Maroc, du lundi 28 au mercredi 30 octobre. Dans sa story Instagram, Tristan Bromet, directeur de cabinet de la Première Dame, a partagé un extrait d’un JT marocain ainsi que le communiqué du ministère de la Maison Royale, du Protocole et de la Chancellerie à ce sujet.

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Selon les informations du média Africa Intelligence, le roi va accueillir le couple présidentiel à son arrivée. Un dîner d’État sera organisé le mardi 29 octobre au Palais royal. Durant son séjour, Emmanuel Macron doit également s’adresser au Parlement marocain et rencontrer la communauté française installée dans le pays. Cette visite a pour objectif de « raffermir » les liens entre les deux pays. Depuis plusieurs années, les relations entre la France et le Maroc sont assez tendues, notamment après une forte réduction des visas accordés par la France aux ressortissants de plusieurs pays maghrébins à l’automne 2021 et son rapprochement avec l’Algérie. Emmanuel Macron avait toutefois déjà effectué un voyage au Maroc en 2018, au début de son premier mandat.

Les tensions entre Mohammed VI et Emmanuel Macron ne sont pas de simples rumeurs. En septembre 2023, L’Express révélait que le roi a raccroché au nez du président français à deux reprises : en juillet 2021 et en décembre 2022. La première fois est liée à l’affaire Pegasus. Plusieurs médias avaient révélé en juillet 2021 que le président français faisait partie des personnalités espionnées grâce au logiciel de piratage de smartphones. Le Maroc avait été cité parmi les potentiels commanditaires, mais le roi a donné « sa parole de roi » que ses services n’avaient pas mis Emmanuel Macron sous écoute. En décembre 2022, le chef de l’État a appelé Mohammed VI pour le féliciter de la qualification du Maroc en demi-finale de la Coupe du Monde de football au Qatar. Cependant, en recevant un autre appel entre-temps, Emmanuel Macron l’a mis en attente. Le roi, fils d’Hassan II, a alors raccroché. Espérons que ce voyage soit moins tendu que leurs précédents échanges téléphoniques.

Affaire Paul Watson : Le message fort de Brigitte Bardot à Emmanuel Macron

La célèbre Brigitte Bardot

Sur son compte X ce mardi 22 octobre 2024, Brigitte Bardot a interpellé Emmanuel Macron. C’est notamment au sujet du militant écologiste Paul Watson, emprisonné au Groenland depuis le 21 juillet dernier.

Tensions entre Brigitte Bardot et Emmanuel Macron : l’affaire Paul Watson s’intensifie

L’objectif est clair pour Brigitte Bardot : faire réagir Emmanuel Macron. Ce mardi 22 octobre, à la veille de l’examen de la demande d’extradition de Paul Watson, militant écologiste emprisonné au Groenland depuis le 21 juillet, l’actrice s’est emparée de son compte X (anciennement Twitter) pour interpeller le président de la République à ce sujet. Après avoir appelé à une mobilisation pour la libération de l’homme le 23 octobre à 12h sur la place de l’Hôtel de Ville, elle écrit : « Je demande au président Macron d’accorder l’asile politique à Paul Watson. Un peu de courage Monsieur le président !! »

Plusieurs autres stars dont Florent Pagny, Véronique Sanson ou encore Zazie ont écrit et enregistré, la chanson Le dernier mot en soutien au militant. Pour rappel, Paul Watson est accusé par le Japon d’être « coresponsable de dommages et blessures lors de deux incidents survenus dans l’océan Antarctique en 2010 à l’encontre d’un navire baleinier japonais », rapporte Ouest France. Le fondateur de la Sea Sheperd a demandé l’asile politique au mari de Brigitte Macron dans une lettre, le 16 octobre dernier.


Le 9 août, au téléphone, sur LCI, Brigitte Bardot qui défendait déjà le cas Paul Waston, s’est confié sur ses rapports tendus avec Emmanuel Macron. « Depuis le jour où il m’a reçu à l’Élysée en 2018, il m’a demandé ce qu’il pouvait faire pour moi, pour les animaux. J’ai passé une heure à lui expliquer mais il n’a rien fait. Alors depuis je suis très fâchée », confie-t-elle en direct sur la chaîne.

Charles III et son artisan atteint de cancer : la coïncidence émouvante révélée en Australie

Le couple royal

Le couple royal britannique en visite en Australie depuis vendredi dernier. Charles III et Camilla sont en déplacement officiel et comme l’a révélé The Sun le 19 octobre dernier, le roi est au cœur d’une triste coïncidence.

Australie : Charles III rencontre l’artisan derrière son futur carrosse, tous deux luttent contre le cancer

Le roi Charles III et son épouse Camilla sont en tournée en Océanie. Un voyage officiel au cours duquel tout a été minutieusement organisé pour ménager le souverain de 75 ans, qui se bat depuis plusieurs mois contre un cancer. « En Australie, nous n’assisterons pas à des réceptions en soirée, il n’y aura pas de dîner d’État, ce qui est inhabituel. Ils réduisent leurs horaires pour des raisons de santé, donc pas de soirées tardives », a confié récemment l’experte des têtes couronnées Kate Mansey dans le podcast Royals with Roya and Kate.

Mais, comme l’a souligné The Sun le 19 octobre, durant son passage en Australie, Charles III pourrait croiser le chemin d’un homme qu’il connaît déjà : Jim Frecklington, qui a déjà réalisé deux carrosses pour la famille royale. À 74 ans, cet artisan travaille depuis plus de six ans sur un nouveau carrosse inspiré des Rolls-Royce, sans plans ni dessins, destiné au père des princes William et Harry. « Personne d’autre ne sait comment faire, et c’est mon meilleur travail à ce jour. Je voulais créer quelque chose de spécial pour honorer le roi Charles », a-t-il confié au journal britannique. Triste coïncidence : tout comme le souverain, avec qui il a déjà correspondu, le septuagénaire est également atteint d’un cancer. Ce problème de santé ralentit considérablement ses travaux sur ce carrosse destiné au roi. « Ce serait formidable que Sa Majesté vienne ici pour admirer le véhicule pendant son séjour en Australie », a-t-il ajouté, plein d’espoir.

Toujours dans son entretien avec The Sun, Jim Frecklington a évoqué plus en détail la construction de ce carrosse. Selon lui, le roi « est pleinement conscient » du retard pris dans sa réalisation. « Dans ma dernière correspondance, je lui ai fait savoir que je suivais une chimiothérapie. Je comprends donc ce que le roi traverse », a-t-il précisé. Seule incertitude une fois le véhicule terminé : comment sera-t-il acheminé vers l’Angleterre ? « C’est à la Maison royale de décider comment elle souhaite le récupérer ou l’envoyer », a conclu l’artisan.

Philippe et Mathilde en visite d’État chez Emmanuel Macron : découvrez les coulisses de cette visite historique

Le couple présidentiel accueille le roi Philippe et la reine Mathilde à l'Elysée

Alors que la dernière visite d’État de souverains belges remonte à 23 ans après, Emmanuel et Brigitte Macron ont accueilli le roi Philippe et la reine Mathilde en grande pompe ces dernier jours. Retour sur cette visite historique tel rapporté par Gala.

Amitié franco-belge célébrée à l’Élysée : Emmanuel et Brigitte Macron en tête-à-tête avec le roi et la reine des Belges

Lundi 14 octobre, aux abords de l’Élysée, il est 19h et le doux soleil d’automne n’apaise pas les mécontents. Mais ce n’est pas tous les jours que l’on accueille le roi et la reine des Belges ! Malgré la proximité géographique, c’est une rareté : la dernière visite d’État – le plus haut degré protocolaire – remonte à 2003, quand Jacques Chirac avait reçu Albert II et son épouse Paola. Emmanuel et Brigitte Macron ont donc déroulé le tapis rouge pour le roi Philippe et la reine Mathilde, avec un dîner chaleureux célébrant l’amitié franco-belge, temps fort de ce séjour de trois jours, de Paris à Lille en passant par Chantilly. Au menu de ce festin ? Du homard bleu, une poularde aux cèpes et des grands crus pour 150 invités triés sur le volet : des personnalités politiques comme Yaël Braun-Pivet et Gérald Darmanin, accompagnés de leurs conjoints indépendants, ainsi que Rachida Dati, Clément Beaune, Charles Michel et le Le premier ministre Alexander De Croo côté belge. La présentatrice météo bruxelloise Tatiana Silva, enceinte, était également présente parmi les célébrités, ainsi que l’incontournable Stéphane Bern, pour la touche glamour.

Tapis rouge, drapeaux français et belges, fanfare de la garde républicaine… Tout sourire lors de leur arrivée dans la cour de l’Élysée, le roi Philippe et la reine Mathilde ont immédiatement ressenti la chaleur de l’accueil. Emmanuel Macron a qualifié cette rencontre de « réunion de famille et fête de voisins à la fois », six ans après avoir été reçu pour une visite d’État en Belgique. La complicité entre la Première dame et la reine, vêtue de noir et de strass, était évidente, tout comme lors de leur première entrevue plus tôt dans la journée, où elles avaient déjà opté pour des tenues de couleurs similaires. L’effusion d’affection entre Brigitte Macron et la souveraine, habillée en Dior, a été un moment marquant, bien que non prévu par le protocole.

« Elles ont énormément de points communs », souligne Wim Dehandschutter, journaliste belge spécialiste de la monarchie. Passionnées par la culture, l’éducation et engagées dans la défense des droits des enfants et des femmes, elles partagent une vision commune. À Paris, Brigitte Macron a tout fait pour que la reine Mathilde se sente chez elle, notamment en l’invitant à visiter l’Opéra Garnier avant le dîner.

L’un est plus introverti que l’autre, mais le roi Philippe et Emmanuel Macron partagent des intérêts communs, notamment le piano, le tennis et le football. Leur complicité a fait sourire les convives lorsqu’ils ont plaisanté sur le fait que le match Belgique-France se déroulait pendant le dîner. « Il fallait le faire quand même ! » s’est amusé le roi Philippe. La fanfare de la garde républicaine a également marqué la soirée en revisitant des classiques comme « L’Envie » de Johnny Hallyday et « Alors on danse » de Stromae, faisant rire le couple royal. La présence remarquée du prince Gabriel, fils du roi Philippe, a également été un moment fort.

Mardi, un déjeuner chaleureux s’est tenu à la résidence de l’ambassadeur de Belgique, suivi d’une visite au Centre Pompidou. Le séjour s’est conclu par une visite au château de Chantilly, avant que le couple royal ne prenne la direction de Lille pour la dernière étape de leur visite.

VIDEO – Donald Trump surprend tout le monde en cuisinant des frites dans un McDonald’s en Pennsylvanie

Donald Trump dans un McDonald's situé dans l'État-clé de Pennsylvanie

Dimanche 20 octobre 2024, Donald Trump, candidat à l’élection présidentielle américaine du 5 novembre prochain, s’est retrouvé derrière les fourneaux. Une grande surprise. On voit l’ancien président américain apprenant à faire des frites dans un McDonald’s situé dans l’État-clé de Pennsylvanie.

Donald Trump apprend à faire des frites : découvrez cette scène insolite dans un McDonald’s en pleine campagne électorale

C’est une scène surprenante. Dimanche, Donald Trump, candidat républicain à la présidentielle américaine, s’est mis en scène dans un McDonald’s en Pennsylvanie. Dans les cuisines du fast-food, il a enfilé un tablier par-dessus sa chemise blanche et sa cravate rouge, avant d’apprendre à préparer des frites. Sur les images partagées sur les réseaux sociaux, l’ancien président égoutte le panier de friture, sale les frites, puis les dispose dans des cornets. Selon TMZ, il a également posé des questions aux employés sur leur expérience de travail dans le restaurant et sur leurs relations avec leur directeur. Après avoir maîtrisé la cuisson des frites, Donald Trump est passé au guichet pour servir les clients en voiture. Certains conducteurs, surpris d’être servis par le candidat républicain, ont échangé quelques mots avec lui.

Trump a profité de l’occasion pour attaquer son adversaire à la présidentielle, Kamala Harris. « J’ai travaillé chez McDonald’s 15 minutes de plus que Kamala. J’aime McDonald’s, j’aime les emplois, et je trouve déplacé que quelqu’un critique ce travail tout en affirmant avoir travaillé ici », a ironisé Trump. Il a ajouté : « Elle parle des ‘souffrances’ qu’elle a endurées en travaillant chez McDonald’s… mais McDonald’s a confirmé qu’elle n’y a jamais travaillé. C’est ‘Kamala la menteuse’. » Kamala Harris affirme en effet régulièrement avoir travaillé chez McDonald’s durant l’été 1983 en Californie, une manière de souligner son lien avec les classes populaires, en contraste avec le parcours de milliardaire de Trump.

Cette apparition chez McDonald’s survient peu après la sortie des mémoires de Melania Trump, intitulées Melania. Alors que certaines rumeurs suggéraient des tensions dans leur couple, Donald et Melania ont démenti en apparaissant ensemble le 17 octobre dernier à New York, lors du 79e gala de charité de la fondation Alfred E. Smith Memorial. Ils se sont montrés complices, échangeant sourires et regards tendres, ce qui a été largement capté par les photographes présents. Malgré les rumeurs et les controverses, notamment la condamnation de Donald Trump dans l’affaire l’opposant à Stormy Daniels, leur mariage semble rester solide. Bien que les mémoires de Melania contiennent des passages divergents par rapport aux positions de son mari, Donald Trump l’a félicitée publiquement sur X (anciennement Twitter), en invitant ses supporters à « acheter leur exemplaire dès aujourd’hui. »

Le roi Charles exprime sa ‘grande joie’ lors de son retour en Australie

Le roi Charles III à la célébration des 25 ans de The Scottish Parliament

Le roi Charles III est en tournée en Australie depuis le vendredi 18 octobre 2024. Ce dimanche 20 octobre, il a assisté à une messe et exprimé sa « grande joie » d’être de retour en Australie, dimanche, lors de sa première apparition publique depuis son arrivée dans le pays.

Roi Charles en Australie : une visite royale sous le signe de la discrétion et des engagements

Le souverain, âgé de 75 ans, est arrivé avec son épouse Camilla à Sydney tard dans la soirée de vendredi. Atteint d’un cancer, il a passé la journée de samedi à se reposer avant de reprendre ses obligations royales. Charles III a fait sa première apparition publique dimanche matin, lors de la messe à l’église anglicane Saint-Thomas, située dans le nord de Sydney. Quelques centaines de personnes étaient rassemblées autour de l’édifice, applaudissant et brandissant des fleurs et des drapeaux.

Plus tard dans la journée, Charles a prononcé une brève allocution devant le conseil législatif de l’État de Nouvelle-Galles du Sud, où il a salué « la promesse et le pouvoir de la démocratie représentative ». Il s’est même permis une blague sur son âge : « Je suis venu en Australie pour la première fois il y a près de 60 ans, ce qui est un peu inquiétant. Je suis simplement ravi de venir pour la première fois en tant que souverain. »

Charles passera le reste de la journée de dimanche à Admiralty House, la résidence du gouverneur général d’Australie, le représentant du monarque dans le pays. Une nouvelle opportunité pour les Australiens d’apercevoir le roi s’offrira lundi, lors de son arrivée à Canberra, la capitale, pour la partie la plus chargée de son emploi du temps, qui reste néanmoins allégé par rapport aux visites royales traditionnelles. La santé fragile du roi l’a exempté de longs bains de foule et d’un calendrier étendu sur plusieurs semaines.

Ce voyage de neuf jours en Australie et aux îles Samoa est la première grande tournée de Charles depuis son couronnement et l’annonce de son cancer. Une poignée de manifestants se sont rassemblés près de l’église dimanche, brandissant des pancartes appelant à « décoloniser » l’Australie. Selon un récent sondage, environ un tiers des Australiens sont favorables à l’abolition de la monarchie, un autre tiers à son maintien, tandis qu’un tiers ne se prononce pas. En 2024, la ferveur monarchique en Australie est bien moindre que lors de la dernière visite royale en 2011, lorsque des milliers de personnes s’étaient déplacées pour saluer la reine Élisabeth II.

Roi Charles III : Découvrez les mesures de sécurité médicale pour son voyage en Australie

Charles III

Selon les informations du média Hola! ce 17 octobre, le roi Charles III est bien encadré pendant son voyage en Australie qui démarre ce 18 octobre 2024. Ceci, avec une équipe médicale dédiée et du matériel de secours prêt à intervenir si nécessaire.

Cancer du roi Charles III : une équipe médicale sur le qui-vive pendant sa tournée

Ce 18 octobre 2024, le roi Charles III entame sa tournée en Océanie, territoire du Commonwealth. C’est un voyage crucial pour le monarque, qui a pris la décision, avec l’accord de ses médecins, de suspendre temporairement son traitement contre le cancer pendant son séjour. Selon le Daily Mail, pendant ces onze jours, un médecin de la Royal Navy l’accompagnera, avec des poches de sang à bord de l’avion afin de prévenir tout risque inutile. Bien qu’il se rende en Australie et aux Samoa, le père des princes William et Harry a choisi de ne pas visiter la Nouvelle-Zélande pour des raisons de santé évidentes.

Le médecin qui l’accompagne a pris soin d’identifier les hôpitaux les plus proches à chaque étape de son voyage, afin de réagir rapidement en cas de problème, comme l’indique Hola! . L’équipe médicale est composée de deux médecins disponibles 24h/24, munis d’un défibrillateur portable et de médicaments pour les urgences. Ce personnel ne quitte jamais le roi pour surveiller son état de santé et intervenir rapidement si besoin. Durant les vols aller et retour, une attention particulière sera portée à l’état de ses membres pour éviter qu’ils ne gonflent, comme cela a été le cas lors de son dernier voyage en Australie.

Les détails précis sur l’état de santé du roi Charles III restent encore flous, huit mois après l’annonce officielle. Bien que le monarque ait brisé le tabou en révélant son combat contre un cancer, il n’a jamais précisé de quel type de cancer il souffrait. À Londres, des rumeurs circulent à ce sujet, comme l’a expliqué Marc Roche, spécialiste de la royauté britannique, le 14 octobre dans les colonnes du Point . Certaines sources évoquent un cancer de la Vessie non invasif, mais ces informations n’ont pas encore été confirmées, tandis que la maladie dont Kate Middleton souffrait restait également non divulguée.

Philippe et Mathilde de Belgique en France : les coulisses de la deuxième journée de la visite d’État

Le couple présidentiel accueille le roi Philippe et la reine Mathilde à l'Elysée

La visite d’État se poursuit pour le roi Philippe et la reine Mathilde de Belgique. Pour leur deuxième journée officielle en France ce mardi 15 octobre, les deux célébrités ont eu un emploi du temps bien chargé. De leur visite à la Sorbonne à la découverte d’une exposition au Centre Pompidou, le couple royal a multiplié les rendez-vous à Paris.

Le roi Philippe et la reine de Belgique à la découverte du patrimoine français : de Paris à Chantilly

Ce lundi 14 octobre, le roi Philippe et la reine Mathilde sont arrivés dans la capitale pour une visite d’État de trois jours en France. Après avoir visité les Champs-Élysées, Matignon, l’Opéra Garnier, les Invalides et assisté à un prestigieux dîner organisé au palais de l’Élysée, le couple royal a eu un programme tout aussi chargé pour leur seconde journée. En effet ce mardi 15 octobre, le couple royal a enchaîné les visites dans la capitale, un véritable marathon.

Le premier rendez-vous s’est tenu à l’Hôtel de Crillon, place de la Concorde, où le roi Philippe a participé à un colloque sur les « défis pour l’avenir de l’industrie en Europe », comme rapporté par Paris Match. À la fin de cette matinée, Philippe de Belgique a retrouvé son épouse à l’Hôtel de Ville de Paris. Pour cette rencontre avec Anne Hidalgo, Mathilde de Belgique a troqué son ensemble rouge Dior pour une tenue plus éclatante : une veste et une jupe vert pistache, assorties d’un bandeau de la même couleur.

Après cette visite et un déjeuner à la Résidence de Belgique, le couple était attendu à la Sorbonne pour une séquence académique autour des alliances universitaires entre les deux pays. Une journée bien remplie, qui s’est terminée en beauté. À la nuit tombée, Philippe et Mathilde se sont rendus au Centre Pompidou pour découvrir l’exposition « Surréalisme ». Pour cet événement artistique, le couple royal s’était mis sur son trente-et-un. Le roi des Belges portait un élégant smoking noir, tandis que Mathilde brillait dans une longue robe blanche, ornée d’une cape vaporeuse parsemée de fines paillettes.

Après cette soirée artistique, Philippe et Mathilde ont pris la direction de Chantilly, point de départ de leur ultime journée en France. Ce mercredi 16 octobre marque la fin de leur visite d’État. Le programme s’annonce tout aussi chargé ! Dans la matinée, Philippe et Mathilde retrouveront Brigitte Macron pour visiter un joyau du patrimoine français, le château de Chantilly. Ils inaugureront ensemble une exposition sur Louise d’Orléans, princesse française devenue la première reine des Belges.

Le couple royal quittera ensuite l’Oise pour Lille, où ils ont été invités par la maire Martine Aubry. Après un déjeuner à l’Opéra avec une centaine de convives, Leurs Majestés se rendront à EuraTechnologies, l’un des plus grands incubateurs de start-ups d’Europe, avant de repartir pour Bruxelles en fin de journée.

Mondial de l’Automobile 2024 : Emmanuel Macron et son attachement à la voiture révélés

Emmanuel Macron à l'inauguration du 90e Mondial de l’Automobile de Paris

Ce lundi 14 octobre 2024, le 90e Mondial de l’Automobile de Paris a été inauguré par Emmanuel Macron. Une belle opportunité pour le Président de renouer avec des thématiques qui lui tiennent à cœur : la stratégie, l’économie et la souveraineté industrielles.

Quand Emmanuel Macron avoue avoir raté son permis de conduire : révélations et anecdotes sur sa relation avec la voiture

Le déplacement d’Emmanuel Macron pour l’inauguration de ce 90e Mondial de l’Automobile de Paris, est d’autant plus marquant que, depuis la nomination de Michel Barnier à Matignon, l’agenda du Président est principalement orienté vers les questions internationales. Cependant, quel est son rapport à la voiture ? Dans une séquence de BFMTV datant de 2014, le président de la République avait admis, en marge de ce même événement (au volant d’une Renault Zoe), qu’il n’a jamais été un conducteur modèle : « Lorsque je conduisais, j’aimais plutôt accélérer et sentir le moteur, donc je suis un très mauvais élève de ce côté-là, ne le répétez pas ! »

En 2018, Marianne révélait qu’Emmanuel Macron était titulaire du permis de conduire depuis 1998, obtenu à Amiens après l’obtention de son bac. Au printemps 2022, Emmanuel Macron confiait dans une interview à M6… avoir raté son permis la première fois ! « Il est rare d’obtenir son permis du premier coup », admettait-il. « Je l’ai raté une fois, oui, ce n’est pas très glorieux. » Désormais, en raison de ses fonctions, le président n’a plus besoin de conduire lui-même, se déplaçant dans une voiture avec chauffeur. En 2014, il avait d’ailleurs vendu sa voiture en arrivant à Bercy, selon Marianne.

En septembre 2023, Emmanuel Macron a exprimé sa passion pour la voiture lors d’un entretien télévisé mené par Laurent Delahousse et Anne-Claire Coudray. « Ce qui est très important pour les Français, c’est qu’on est très attachés à la voiture. On aime la bagnole, et moi, je l’adore », s’enthousiasmait-il à la veille de la présentation de sa stratégie face au changement climatique. Cette déclaration, largement commentée, faisait écho à Georges Pompidou, son prédécesseur.

Le roi Philippe et la reine Mathilde en France : les temps forts de leur visite d’État

Le couple présidentiel accueille le roi Philippe et la reine Mathilde à l'Elysée

Ce n’est pas un secret. La France et la Belgique ont connu quelques tensions ces dernières années, notamment sur les terrains de football. Mais, la visite du roi Philippe de Belgique et de la reine Mathilde, qui commence ce lundi 14 octobre en France, s’annonce sous les meilleurs auspices. Découvrez les temps forts de cette première journée de la visite d’État.

Visite royale en France : Philippe et Mathilde de Belgique rencontrent Emmanuel et Brigitte Macron

Alors que l’équipe de France se trouve en Belgique pour défier les Diables Rouges en Ligue des Nations, le roi Philippe et la reine Mathilde sont à Paris pour une visite d’État de trois jours. L’objectif est d’approfondir les relations bilatérales entre la France et la Belgique, notamment en matière de défense et d’économie. Lors de cette visite, ils ont été accueillis par le président Emmanuel Macron et son épouse Brigitte Macron lors d’une cérémonie à l’Arc de Triomphe. La Première dame a d’ailleurs assorti sa tenue à celle de la reine Mathilde, toutes deux vêtues de rouge, comme le montrent les photos dans notre diaporama. Le roi Philippe et le président Macron ont ensuite passé en revue les troupes avant de procéder aux traditionnels dépôts de gerbes et au ravivage de la flamme sur la tombe du Soldat inconnu.

Après ce moment solennel, le roi et la reine se sont rendus au Palais de l’Élysée pour un entretien avec le président. Un dîner d’État en leur honneur est prévu dans la soirée, mais avant cela, ils rencontreront le Premier ministre Michel Barnier lors d’un déjeuner à Matignon. Selon la présidence française, « cette visite est une nouvelle occasion de célébrer l’amitié fraternelle qui unit la France et la Belgique. »

Cette première journée marque le début d’un programme chargé pour le roi Philippe et la reine Mathilde lors de leur visite officielle en France.

Emmanuel Macron accueille la famille royale belge : une visite attendue depuis 21 ans

Le couple présidentiel à l'Elysée

C’est bien ce lundi 14 octobre que débute le séjour du roi Philippe et de la reine Mathilde de Belgique en France. Pendant quarante-huit heures, ils visiteront Lille et Paris. Emmanuel Macron a libéré son agenda pour accueillir le roi et la reine des Belges. Cet événement est exceptionnel, car il aura dû attendre près de vingt et un ans jour pour jour pour qu’un président français invite un monarque belge à une visite d’État en France, comme l’a rappelé Histoires Royales.

Visite d’État du roi Philippe en France : une nouvelle étape dans l’amitié franco-belge

Après leur arrivée en Eurostar à la Gare du Nord, les souverains belges seront reçus au palais de l’Élysée par Emmanuel et Brigitte Macron. Mais avant cela, une cérémonie protocolaire est prévue au pied de l’Arc de Triomphe. Des festivités attendues depuis plus de deux décennies. Bien que les voyages du roi Philippe et de la reine Mathilde en France soient fréquents, les visites d’État restent rares. Ce séjour a un caractère particulièrement exceptionnel, car il s’agit de la première visite d’État sortant du roi Philippe en 2024, poursuit le site spécialisé. Le couple belge, habituellement, répond à deux invitations par an. En principe, la première a lieu au printemps et la seconde au cours de l’automne

Emmanuel Macron, à la moitié de son deuxième mandat, s’apprête à rendre la pareille à Philippe de Belgique. Comme le rappelle Histoires Royales , la tradition veut que, lorsqu’un chef d’État reçoit son homologue, une visite d’État en retour soit planifiée dans les années suivantes. En 2018, le roi Philippe et la reine Mathilde avaient invité le président français et son épouse sur le sol belge. Cette semaine, les liens historiques et familiaux entre les deux pays seront mis en avant. Bien que les visites d’État soient rares, les rencontres entre les rois des Belges et les présidents français sont fréquentes. Ces derniers mois, Emmanuel Macron a croisé Philippe de Belgique lors de plusieurs événements, notamment les Jeux Olympiques de Paris 2024 et les cérémonies du Débarquement en Normandie.

Visite en Australie : Des responsables politiques australiens boycottent Charles III, la monarchie sous tension

Charles III

Du 18 au 26 octobre, le roi Charles III et son épouse Camilla seront en Océanie pour leur première tournée royale depuis l’annonce du cancer du monarque. Bien que le Palais espérait que ce voyage améliorerait la cote de popularité du souverain, cet objectif semble de plus en plus difficile à atteindre. Une « gifle », c’est ainsi que la presse britannique qualifie le revers infligé par plusieurs stars et hauts responsables politiques australiens à Charles III, quelques jours avant son arrivée.

Charles III face à une Australie républicaine : des ministres refusent de le rencontrer

D’après ce que rapporte The Mirror, plusieurs personnalités politiques australiennes ont déjà annoncé leur refus de rencontrer Charles III lors de son passage à Canberra. Aucun ministre d’État ne recevra ainsi le couple royal dans la capitale, malgré leur participation à divers événements visant à renforcer les relations diplomatiques. Ce dimanche 13 octobre, Jacinta Allan, Steven Miles, Roger Cook et Peter Malinauskas, Premiers ministres de Victoria, du Queensland, de l’Australie-Occidentale et de l’Australie-Méridionale, ont tous invoqué des engagements préexistants pour justifier leur absence lors de la visite du roi.

D’autres personnalités politiques ont suivi cet exemple. La porte-parole de la ligue monarchiste australienne, Bev McArthur, a rapidement exprimé sa déception face à ce qu’elle considère comme un manque de respect envers Charles III et la famille royale britannique. « Tous les Premiers ministres et ministres ont prêté serment d’allégeance à notre monarque, et c’est une insulte monumentale de rejeter sa main tendue en signe d’amitié », a-t-elle déclaré au Herald Sun.


Ce rejet survient alors que le roi Charles III a dû suspendre son traitement contre le cancer spécialement pour ce voyage. Cette tournée sera toutefois l’occasion pour lui de rencontrer les dirigeants du Commonwealth à Samoa, lors du 27e rassemblement des chefs de gouvernement. Bien que chaque Premier ministre ait justifié son absence par des raisons logistiques, cette décision est perçue comme un « profond manque de professionnalisme » au sein de la Couronne.

De nouveaux sondages réalisés en Australie suggèrent que le soutien à une République australienne a atteint son niveau le plus bas sous le règne de Charles III. Selon le Sunday Mail, un Australien sur quatre a une opinion plus favorable du roi qu’avant son couronnement. Parmi les 1 049 personnes interrogées dans le sondage NewsCorps Pulse of Australia, seulement 33 % ont déclaré que l’Australie devrait devenir une République. Lors du référendum de 1999, 39,4 % des électeurs s’étaient prononcés en faveur d’une République. Bien que la Couronne affirme que ces désistements ne compromettent pas la tournée royale, ces décisions sont vues comme un camouflet pour Charles III.

Décès de Michel Meurdesoif, ancien maire d’Aniche : la commune sous le choc

Michel Meurdesoif

À Aniche, c’est une vive émotion depuis ce samedi 12 octobre après l’annonce du décès de Michel Meurdesoif, une figure incontournable de la ville. Ancien maire pendant 25 ans, de 1989 à 2014, Michel Meurdesoif a joué un rôle clé dans la gestion de la commune et restait encore actif au sein du conseil municipal actuel.

La nouvelle de sa disparition a profondément touché les habitants. Dans un hommage publié sur les réseaux sociaux de la ville, l’actuel maire a exprimé sa grande tristesse pour « un homme d’action, toujours dévoué à servir sa commune et ses habitants ».

« Bien que nos convictions politiques différaient, Michel était un homme de conviction et un pilier pour Aniche. Il a œuvré sans relâche pour le bien de notre commune », a déclaré le maire Xavier Bartosek, qui déplore la perte « d’un des enfants les plus dévoués d’Aniche. »

Élysée : Emmanuel et Brigitte Macron privés de travaux qui leur apporteraient plus de confort

Le couple présidentiel à l'Elysée

Ces dernières années, l’Élysée se transforme pour protéger l’environnement. Si un gros chantier est en cours concernant le chauffage, il semblerait que la rénovation de l’isolation des fenêtres ne rentre pas dans le budget. Une petite mauvaise nouvelle pour Emmanuel et Brigitte Macron.

Dans un élan de favoriser l’écologie et de protéger l’environnement, l’Élysée adopte des mesures en ce sens. Ruche, compost, absence de produits phytosanitaires dans les jardins, recyclage des restes alimentaires… Plusieurs initiatives ont été mises en place. Alors que l’hiver approche, les travaux de chauffage sont en cours de finalisation. « Dès cet hiver pour le chauffage et au printemps pour la climatisation. Les hôtels d’Évreux et de Marigny (autres noms donnés à l’Élysée) seront chauffés par un mix de géothermie et de chauffage urbain, ce qui permettra de décarboner à 87 % et de démonter nos quatre chaudières à gaz », explique Yannick Desbois, directeur général des services.

En plus de ces travaux, la rénovation de l’isolation des plafonds et des murs est étudiée, toutefois il semblerait que celle des fenêtres ne fasse pas partie du projet, par manque d’argent. « On n’a pas les moyens financiers et techniques pour passer en double vitrage. Nous sommes tenus par la classification monument historique », confie Yannick Desbois. Et il semblerait qu’Emmanuel Macron veille à ce que les travaux entrepris au sein de la demeure présidentielle soient fait dans les règles, pour protéger le monument. « Rien ne se fait sans son autorisation », ajoute le directeur général des services de l’Élysée.

Les Macron au Touquet : face à une nouvelle résidence de luxe

A chaque fois que l’occasion se présente, Emmanuel et Brigitte Macron s’évadent de la vie parisienne pour rejoindre leur demeure au Touquet. La Première Dame est propriétaire de la villa Monéjan, située en plein cœur du triangle d’or de la ville. Pour rappel, c’est aussi là-bas que le couple présidentiel se rend pour voter à chaque élection. Mais les époux vont devoir s’adapter à un changement majeur. Comme le rapporte Le Figaro, une résidence comprenant dix logements haut de gamme, de 80 à 150 m², a été construite juste en face de chez eux. Ce nouveau bâtiment, baptisé les « Villas Saint-Jean », se compose également d’un magasin de vêtements d’une surface de 300 m². La propriété « se démarque de l’architecture classique des maisons touquettoises » et vient combler une « dent creuse », un espace non construit entouré de parcelles bâties, selon le promoteur de la résidence.

Charlotte Gainsbourg en larmes lors de l’hommage du Crif aux victimes de l’attaque du Hamas

Charlotte Gainsbourg

Ce lundi 7 octobre 2024, c’était la grande émotion au rassemblement organisé par le Crif à Paris, où environ 4 000 personnes ont assisté à une cérémonie d’hommage dans la salle du Dôme, dans le 15ᵉ arrondissement, un an après l’attaque du Hamas contre Israël. Charlotte Gainsbourg a coulé les larmes.

Hommage du Crif à Paris : Charlotte Gainsbourg, Michel Barnier et des personnalités politiques rendent hommage aux victimes du 7 octobre

La soirée a débuté par la projection de vidéos retraçant la fondation et l’histoire d’Israël jusqu’au festival Nova du 7 octobre 2023, suivie de captures d’écran et de messages vocaux envoyés par les participants au moment de l’attaque, comme « Ils sont partout » ou encore « Ils enlèvent des gens ». Une minute de silence a ensuite été enregistrée par l’assistance, debout, où l’on a pu voir de nombreux ministres, dont le Premier ministre Michel Barnier, qui a prononcé un discours.

Avant lui, le président du Crif, Yonathan Arfi, avait lancé un message fort en déclaré que « Rien ni personne n’échappe au 7-Octobre » car « cette journée restera à jamais entachée par le sang des victimes ». L’ancien président François Hollande était également présent, tout comme Valérie Pécresse, Xavier Bertrand, Nicolas Sarkozy, Manuel Valls, ainsi que d’autres personnalités telles que l’écrivain Bernard-Henri Lévy, l’actrice Sandrine Kiberlain, le dessinateur Joann Sfar et Charlotte Gainsbourg, émue aux larmes au moment de la lecture, avec son compagnon Yvan Attal, d’un long texte d’hommage aux victimes. Patrick Bruel et Amir étaient également présents et ont chanté sur scène.

L’émotion était intense dans le public, parfois mêlée de colère, notamment contre la prise de position du chef de l’État, Emmanuel Macron, en faveur de l’arrêt des livraisons d’armes à Israël. « C’est aberrant, une honte », a déclaré à l’AFP Edmond Sinelnikoff, 75 ans, dans le fichier d’attente du Dôme. Un autre participant, portant un ruban jaune au poignet en solidarité avec les otages, a ajouté que « ces otages, on a l’impression qu’ils ont été oubliés », et que « n’importe quel Juif s’est senti profondément attaqué , cela a réveillé des souvenirs enfouis » après le 7 octobre 2023.

Certaines personnes étaient également présentes en signe de solidarité, bien qu’elles ne soient pas juives. C’est le cas de Louise, 28 ans, qui a confié à l’AFP : « Je pense que tout le monde devrait être là. J’aimerais voir des gens non concernés se révolter », a-t-elle ajouté. Pour rappel, l’attaque du Hamas, le 7 octobre 2023 en Israël, a fait 1 205 morts, selon un décompte de l’AFP basé sur les chiffres officiels israéliens, incluant également les otages tués en captivité dans la bande de Gaza. En outre, plus de 41 870 Palestiniens ont été tués dans la campagne militaire israélienne de représailles sur la bande de Gaza, principalement des civils, selon les données du ministère de la Santé du gouvernement du Hamas pour Gaza, jugées fiables par l’ONU.

Commémoration du 7 octobre : « C’est comme si 30 000 terroristes étaient entrés en France », Arthur

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L’animateur Arthur était l’invité d’Apolline de Malherbe sur BFMTV et RMC ce lundi 07 octobre 2024. Un an après les attentats du Hamas en Israël, il est revenu sur ce « traumatisme collectif et solitaire » qui se caractérise aujourd’hui par « une plaie ouverte qui ne cicatrise pas ».

Arthur : Retour bouleversant sur les attentats du Hamas un an après

7 octobre 2023 – 7 octobre 2024, cela fait déjà un an, jour pour jour, que les attentats du Hamas ont eu lieu en Israël. Les terroristes ont tué près de 1 200 personnes et pris 96 otages. En ce lundi 7 octobre 2024, 63 Israéliens sont encore présumés vivants et aux mains du Hamas. En France, les juifs doivent vivre avec ce traumatisme et la recrudescence des actes antisémites. Un an après, l’animateur et producteur Arthur, l’un des visages les plus médiatiques de la communauté juive, est revenu, lundi matin, sur BFMTV et RMC, sur ce « traumatisme collectif et solitaire » qui a marqué et marque encore sa vie. « Le 7 octobre restera la pire journée de toute ma vie. C’est une blessure, une plaie ouverte qui ne cicatrise pas. »

« Pour bien comprendre, à l’échelle de la France, c’est dix fois les attentats que nous avons vécus. C’est comme si 30 000 terroristes étaient entrés en France et avaient massacré 12 000 personnes », a expliqué Arthur. Si les juifs d’Israël ont vécu ces massacres dans leur chair, ceux du monde entier l’ont ressenti et le ressentent encore un an après. « Vous n’imaginez pas le traumatisme que c’est. Israël est né de la Shoah. C’est le refuge des juifs du monde entier. (…) Pour la première fois, Israël a été frappé au cœur. Ce traumatisme, les juifs du monde entier le vivent désormais. Alors oui, je pleure. Je pleure tous les jours », a également déclaré Arthur, qui se mobilise chaque jour pour la libération des derniers otages israéliens encore détenus par le Hamas.

Depuis le 7 octobre 2023, Arthur l’assure : son quotidien a changé. Les menaces à son encontre, lui, le « seul juif de TF1 » comme il le dit lui-même, ont redoublé. « Je suis accompagné et protégé 24 heures sur 24 », a-t-il ainsi expliqué. « Je vais une fois par semaine au commissariat du 16e déposer une clé USB avec toutes les menaces que je reçois et toutes les insultes. » Ce drame a aussi changé son rapport aux autres et réduit son cercle social. Arthur a dû faire le tri parmi ses amis et n’a aujourd’hui plus de contact avec ceux qui « ont manqué cruellement » d’empathie envers lui et les juifs. « J’ai perdu des gens pour qui j’avais beaucoup d’affection, mais j’ai rencontré des gens formidables. (…) L’humanisme, ça ne s’invente pas. »

Emmanuel Macron a lui également réagi en ce 7 octobre sur X.

Sommet de la Francophonie : Michel Barnier et sa femme, la grande classe au palais de l’Élysée

Michel Barnier

Ce vendredi 4 octobre s’est ouvert le XIXe Sommet de la Francophonie au château de Villers-Cotterêts, en Picardie. Il est placé sous le thème « Créer, innover et entreprendre en français ». Un sommet qui a réuni des dizaines de chefs d’État et de gouvernement. Le soir même, le président Emmanuel Macron a convié de nombreuses personnalités à un dîner exceptionnel au palais de l’Élysée. Parmi elles figuraient le prince Albert de Monaco, l’humoriste Gad Elmaleh, le Premier ministre canadien Justin Trudeau, et la ministre de la Culture Rachida Dati. Michel Barnier, nouveau Premier ministre, était également présent avec son épouse.

Michel Barnier et Isabelle Altmayer : un couple chic et complice lors du Sommet de la Francophonie

Le couple Barnier a fait sensation lors de sa première sortie officielle à l’Élysée. Main dans la main, ils ont affiché une élégance remarquable. Michel Barnier portait un smoking noir classique et chic, tandis qu’Isabelle Altmayer arborait une superbe robe longue ivoire, cintrée à la taille et ornée de boutons sur le haut, dévoilant un sublime collier. Elle portait également un trench long assorti, ainsi qu’un petit sac noir, créant ainsi un look à la fois raffiné et sophistiqué. Les deux étaient radieux pour cette soirée exceptionnelle.

Les photos des personnalités invitées par Emmanuel Macron sont relayées ici par Gala.

Mariés depuis 1982, Michel Barnier et Isabelle Altmayer ont trois enfants, dont des jumeaux : Nicolas, Benjamin et Lætitia. Ancienne avocate pendant dix ans, Isabelle Altmayer s’est ensuite tournée vers la communication. Depuis 2016, elle est responsable de la communication et de la recherche de fonds pour la fondation La Vie au Grand Air. Elle a également été chargée de mission auprès de la jeunesse et de la santé des femmes au ministère de la Santé, sous la direction de Roselyne Bachelot, entre 2007 et 2010. À cette époque, son mari Michel Barnier était ministre de l’Agriculture dans le gouvernement Fillon.

Santé de Charles III : Des nouvelles rassurantes malgré son cancer

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Le roi Charles III, actuellement en traitement pour un cancer diagnostiqué au début de l’année, continue de rassurer sur son état de santé. Alors que lui et la reine Camilla s’apprêtent à partir en voyage officiel en Australie et aux Samoa le mois prochain, Tom Parker-Bowles, fils de Camilla et critique gastronomique, a donné des nouvelles positives sur la santé de son beau-père.

Charles III, atteint de cancer : le fils de Camilla donne des nouvelles positives

Lors d’une interview pour la promotion de son nouveau livre de cuisine *Cooking and The Crown*, Tom Parker-Bowles a révélé que le traitement de Charles III se déroulait bien. Selon lui, « le médecin dit que le traitement se passe bien », ce qui laisse espérer une évolution favorable de la maladie. Il a également ajouté que Camilla, qui soutient le roi dans cette épreuve, fait preuve de beaucoup de force : « Elle est dure, ma mère », a-t-il déclaré.

Le voyage en Australie et aux Samoa sera le premier déplacement officiel du roi depuis l’annonce de sa maladie. Charles et Camilla séjourneront en Australie du 18 au 24 octobre, avant de se rendre aux Samoa pour la réunion des chefs de gouvernement du Commonwealth. Bien que ces déplacements soient exigeants, des précautions ont été prises pour préserver l’énergie du couple royal. Un porte-parole de Buckingham a précisé : « Nous avons dû adapter l’itinéraire pour nous assurer que Leurs Majestés soient au meilleur de leur forme. »

Le cas de Charles III, confronté à un cancer tout en poursuivant ses devoirs royaux, rappelle d’autres monarques ayant géré des problèmes de santé tout en assumant leurs responsabilités. George VI, le père d’Elizabeth II, a dû faire face à un cancer du poumon et des troubles de santé cardiaque pendant son règne. Malgré son état, il a continué à servir son pays jusqu’à sa mort en 1952. Plus récemment, le roi Harald V de Norvège a surmonté plusieurs opérations, dont une intervention pour un cancer de la vessie, tout en restant à la tête de la monarchie norvégienne.

Malgré ces ajustements, l’objectif principal de Charles III reste de guérir et d’achever son traitement. Sa rémission serait un soulagement, tant pour lui que pour ses proches et ses sujets. En attendant, le roi continue d’honorer ses engagements royaux tout en veillant attentivement à sa santé.

« Je pense à ma famille » : Éric Dupond-Moretti ému lors de sa passation de pouvoir avec Didier Migaud

Éric Dupond-Moretti

Ce lundi 23 septembre 2024, Éric Dupond-Moretti a effectué la passation de pouvoir à Didier Migaud, devant le ministère de la Justice. Le ministre sortant a tenu à adresser quelques mots à sa famille et à sa compagne depuis 2016, Isabelle Boulay.

Éric Dupond-Moretti passe le flambeau à Didier Migaud : un discours émouvant devant le ministère de la Justice

Suite à l’annonce du nouveau gouvernement de Michel Barnier le 21 septembre 2024, les ministres quittent progressivement leurs fonctions. À cette occasion, Éric Dupond-Moretti a partagé des réflexions émouvantes sur son mandat. Dans son discours, retransmis en direct sur plusieurs chaînes d’infos, il a déclaré, très ému : “Je pense aussi à ma famille… À ma mère, à ma compagne qui a accepté que nous mettions notre vie personnelle entre parenthèses, à mes enfants.”

En évoquant son parcours, Éric Dupond-Moretti a cité un proverbe que sa mère lui a appris. Après l’avoir énoncé en italien, il a donné la traduction : “Il faut du vent dans les églises, mais pas au point d’éteindre les bougies.” Selon lui, ce proverbe fait “l’éloge de la nuance”. Il a également tenu à s’adresser à Emmanuel Macron, affirmant : “Ces quatre années au ministère de la Justice me marqueront à jamais. Je veux sincèrement remercier le président de la République de la confiance qu’il m’a accordée en me nommant à ce poste. Je lui rends hommage.”

Éric Dupond-Moretti a ajouté : “Je laisse beaucoup de moi, mes doutes, mes réflexions, mes convictions. Et vous l’imaginez, c’est avec beaucoup d’émotion que je quitte mes fonctions et les personnes qui m’entourent.” Il a évoqué ses fiertés et ses regrets durant ses quatre années à ce poste, tout en remerciant ceux qui ont contribué à ses accomplissements : “Ces moyens, nous les devons aux magistrats, aux greffiers, aux contractuels, aux personnels administratifs, aux surveillants pénitentiaires et aux éducateurs, qui chaque jour dédient leur vie professionnelle, et souvent personnelle, au service public de la justice. C’est évidemment à eux que je pense en cet instant,” a-t-il expliqué. Il a conclu : “J’ai été fier d’être votre ministre.”

Gérald Darmanin passe le relais à Bruno Retailleau : « Nous avons fait des erreurs, mais de notre mieux »

Gérald Darmanin

Ce lundi 23 septembre 2024, Bruno Retailleau est officiellement devenu ministre de l’Intérieur au sein du gouvernement de Michel Barnier. Il a été accueilli par son prédécesseur, Gérald Darmanin, qui lui a adressé un discours marquant.

Ministère de l’Intérieur : Bruno Retailleau prend ses fonctions, Gérald Darmanin fait ses adieux

« Je pars avec le sentiment d’avoir servi mon pays du mieux que je pouvais », a déclaré l’ex-ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin lors de la passation de pouvoir avec Bruno Retailleau ce lundi matin. Il a remercié Emmanuel Macron pour la confiance accordée pendant plus de sept ans. « Il n’y a pas plus grand honneur que de servir son pays dans des fonctions aussi prestigieuses. »

Il a ajouté : « Bien sûr, nous avons commis des erreurs, mais nous avons toujours fait de notre mieux ». Gérald Darmanin a également rendu un hommage appuyé aux forces de l’ordre, qu’il a qualifiées de « héros discrets », et a exprimé son émotion pour les agents blessés et ceux qui ont perdu la vie en service.

S’adressant à son successeur, Darmanin a déclaré : « Vous avez la chance exceptionnelle d’être nommé au ministère de l’Intérieur, le ministère le plus social qui soit. À partir d’aujourd’hui, vous êtes le protecteur de l’ensemble des Français. » Il a conclu en souhaitant sincèrement à Bruno Retailleau et à Michel Barnier une réussite, ajoutant que « la réussite de ce gouvernement sera celle de la France, et je la soutiendrai à ma modeste place ».