ACTU PEOPLE

Le 27 février dernier, Keir Starmer a remis en main propre à Donald Trump une invitation officielle du roi Charles III. Une annonce qui a provoqué un véritable tollé parmi les élus britanniques, dont certains demandent l’annulation pure et simple de cette future visite d’État. Pourtant, le Premier ministre britannique campe sur ses positions.

Polémique : Keir Starmer remet à Trump une invitation du roi Charles III, la classe politique s’indigne

Charles III et Keir Starmer risquent-ils de s’attirer les foudres de la classe politique ? En acceptant de remettre personnellement l’invitation royale à Donald Trump, lors de sa visite à la Maison-Blanche, le chef du gouvernement britannique a déclenché de vives réactions.

Des personnalités politiques influentes, dont John Swinney, chef du Parti national écossais (SNP), ont exprimé leur indignation. Dans un entretien accordé au HuffPost britannique, il a déclaré : « Compte tenu des événements choquants, il est difficile de croire que cette visite puisse avoir lieu. »

Une critique qui fait écho aux propositions d’ Alicia Kearns, députée du parti conservateur, qui estime que : « Les visites d’État devraient être accordées aux alliés les plus honorables, et non utilisées comme un levier politique. »

Keir Starmer persiste et signe malgré les critiques

Face à la polémique, Keir Starmer reste inflexible. Interrogé par la BBC, il a réaffirmé son engagement : « Je ne vais pas me laisser distraire par le SNP ou par ceux qui cherchent à amplifier la controverse, sans mesurer les véritables enjeux en Europe. »

La cheffe du parti conservateur, Kemi Badenoch, a également pris position, rappelant que la décision de cette visite d’État relevait du roi Charles III et non des députés. Son porte-parole a ajouté : « Il est impératif que le Royaume-Uni reste proche des États-Unis et ne se désengage pas de l’OTAN si nous voulons garantir une paix durable en Ukraine. »

Un échange tendu entre Donald Trump et Keir Starmer

En pleine conférence de presse, Keir Starmer a été pris de court par une remarque cinglante de Donald Trump. Alors qu’un journaliste faisait allusion aux relations entre les deux pays, le Premier ministre britannique a tenté de nuancer : « Je pense que vous essayez de créer une division entre nous qui n’existe pas. Nos nations sont plus proches que jamais. » Mais Donald Trump l’a immédiatement interrompu avec un sec : « Ça suffit, merci ! »

Un échange brusque qui a momentanément déstabilisé Keir Starmer, alors qu’il tentait d’évoquer leurs discussions « très constructives ».

Alors que la polémique enfle, cette future visite d’État reste un sujet brûlant au Royaume-Uni, et pourrait bien marquer un tournant dans les relations diplomatiques entre Londres et Washington.

Dans une très récente interview accordée au magazine Elle, Lady Gaga s’est exprimée sur l’impact du pouvoir de Donald Trump sur la communauté LGBTQ+.

Lady Gaga révoltée par la victoire de Trump : « Nous ne nous laisserons pas faire ! »

L’annonce de la victoire de Donald Trump à la présidentielle américaine a provoqué un véritable séisme à Hollywood. De nombreuses célébrités, qui avaient ouvertement soutenu Kamala Harris, ont exprimé leur déception et leur inquiétude pour l’avenir des droits des femmes et des minorités.

À l’image de ses collègues artistes, Lady Gaga n’a pas caché son mécontentement face aux résultats. Militante engagée, elle estime que l’élection présidentielle de 2024 représente un coup dur pour les droits LGBTQ+. « Nous ne nous laisserons pas faire sans nous battre. Nous resterons unis. Ce sera dur, mais je suis prête à relever le défi. Nous sommes prêtes à relever le défi. »

Bien que prudente dans ses actions, la chanteuse prévoyait déjà de soutenir la communauté LGBTQ+ de manière discrète mais efficace, notamment en étant présente pour ses proches menacés par la politique de la nouvelle administration. Elle continuera aussi à s’exprimer publiquement sur ces questions, fidèle à son engagement de longue date.

Lundi 20 janvier 2025, jour historique pour Donald Trump. Le milliardaire a pris ses fonctions en prêtant serment au Capitole, à Washington. Il devient ainsi le 47ᵉ président des États-Unis, succédant à Joe Biden. Une cérémonie historique marquée par un geste de son épouse Melania Trump qui fait le buzz sur la toile.

Donald Trump devient président : le chapeau de Melania crée le malaise

Pour cette cérémonie historique, Donald Trump était entouré de ses proches. Melania Trump, son épouse, était présente en première ligne, accompagnée de leur fils Barron, désormais âgé de 18 ans. Cependant, un moment inattendu a marqué leur arrivée, capturant l’attention des médias du monde entier.

Melania Trump esquive un baiser de son mari : la faute à un chapeau ?

Lors de son entrée dans la rotonde du Capitole, Donald Trump a salué les quelque 700 invités triés sur le volet avant de se diriger vers son épouse pour l’embrasser sur la joue. Mais contre toute attente, Melania Trump, vêtue d’un canotier imposant signé Eric Javits, a tourné la tête, optant pour un simple « baiser aérien ».

Ce geste, attribué à la taille du chapeau qui empêchait tout contact direct, n’a pas échappé aux caméras. Bien que discret sur le moment, l’épisode a rapidement fait le tour des réseaux sociaux et des médias.

Une scène commentée dans le monde entier

Si ce moment de flottement a pu paraître anodin pour les invités présents, il n’en a pas été de même pour la presse internationale. La BBC a qualifié la scène d’« Awkward air kiss » (baiser gênant), tandis que sur X (anciennement Twitter), les internautes s’en sont donnés à cœur joie : « Ce baiser inexistant était hilarant.« ; « Melania a trouvé le chapeau anti-bisous Trump. »; « Trump a fait un bisou virtuel, la classe. »

Tout est prêt pour l’investiture de Donald Trump, prévue ce lundi 20 janvier au Capitole, à Washington. À cette occasion, seize voitures hyper-sécurisées, spécialement conçues pour l’événement, seront mobilisées pour garantir la sécurité du président élu.

The Beast : tous les secrets de la voiture présidentielle de Donald Trump

Donald Trump, élu président des États-Unis en novembre dernier, a été la cible de deux tentatives d’assassinat en 2024. Pour éviter tout incident, rien n’est laissé au hasard. Le véhicule qu’il utilisera, surnommé The Beast (« La Bête »), est un modèle unique construit par les services secrets américains en collaboration avec Cadillac.

Une voiture présidentielle digne de James Bond

The Beast est bien plus qu’un simple véhicule. Elle est décrite comme « impénétrable » et conçue pour résister à toutes sortes d’attaques, qu’elles soient chimiques, explosives ou balistiques. La voiture mesure six mètres de long, pèse près de huit tonnes et est équipée d’un arsenal impressionnant :

• Un système de pressurisation en cas d’attaque chimique.
• Des bonbonnes d’oxygène.
• Des poches de sang compatibles avec le groupe sanguin de Donald Trump.
• Des phares infrarouges invisibles et un pare-brise doté d’une vision nocturne.

Pour déjouer d’éventuelles menaces, seize exemplaires identiques de The Beast seront utilisés lors de la cérémonie. « Toutes ces voitures arborent la même plaque d’immatriculation 800 002 de Washington pour brouiller les pistes », explique Tangi Quemener, ancien correspondant de l’AFP à la Maison Blanche.

Un programme modifié pour des raisons météorologiques

Fait inédit depuis 1985, Donald Trump a décidé de changer le programme traditionnel de l’investiture présidentielle. Plutôt que de prononcer son discours à l’extérieur du Capitole, la cérémonie se déroulera dans la rotonde de l’édifice. « Un vent arctique balaie le pays, et je ne veux pas que des gens soient blessés, de quelque manière que ce soit », a écrit Donald Trump sur sa plateforme Truth Social. Selon les prévisions, la température à Washington lundi sera d’environ -7°C (19°F) au moment de la prestation de serment, avec un ressenti encore plus glacial, précise Reuters.

Cette décision, motivée par le souci de préserver la santé des participants, concerne également les prières et autres discours prévus lors de l’événement.

Suite à la journée à Mayotte auprès des sinistrés du cyclone Chido, Emmanuel Macron a rendu visite aux militaires français basés à Djibouti ce vendredi 20 décembre 2024 pour partager un repas de Noël anticipé. Comme chaque année, le président de la République perpétue la tradition de soutenir les troupes françaises déployées en Afrique ou au Moyen-Orient en cette période festive. Après avoir passé la journée avec les habitants de Mamoudzou, touchés par les ravages du cyclone Chido, Emmanuel Macron a atterri à Djibouti pour une soirée conviviale.

Un menu gastronomique pour les soldats français

Le chef de l’État et les quelque 1 500 soldats stationnés à Djibouti ont partagé un menu aux saveurs typiquement françaises. Selon nos informations, le repas comprenait :

• Entrée : pâté en croûte volaille-foie gras et saumon fumé ;
• Plat principal : suprême de volaille jaune des Landes aux morilles accompagné d’un gratin dauphinois ;
• Desserts : bûche coco-mangue-passion, clémentines de Corse, et un plateau de fromages.

Ce repas, orchestré par le chef de l’Élysée, Fabrice Desvignes, était accompagné de vins prestigieux : un Côtes-du-Rhône de Jean-Luc Colombo, un Médoc de Michel Aroldi et du champagne Duval-Leroy.

Une base stratégique pour la France en Afrique

Le camp militaire de Djibouti est la dernière grande base française en Afrique, notamment depuis la fin de l’opération Barkhane au Mali en 2022. Cette base stratégique joue un rôle essentiel dans le rayonnement de la France dans la région.

Avant de partager ce moment avec les forces armées, Emmanuel Macron a rencontré le président djiboutien, Ismaël Omar Guelleh. Lors de cet entretien, ils ont acté le renouvellement de l’accord de coopération en matière de défense signé en juillet 2024, réaffirmant l’engagement de la France à garantir l’intégrité territoriale de Djibouti.

Le déplacement présidentiel se poursuivra en Éthiopie ce samedi, où Emmanuel Macron rencontrera le Premier ministre Abiy Ahmed.

D’après des informations des sources internes à la Maison Blanche, l’état de santé de Joe Biden aurait suscité des préoccupations dès le début de son mandat en 2021.

Joe Biden : quand l’âge du président le plus vieux des États-Unis inquiète

Investi le 20 janvier 2021, Joe Biden est devenu le 46ᵉ président des États-Unis à l’âge de 78 ans, ce qui en fait le président le plus âgé de l’histoire du pays. D’après les révélations du Wall Street Journal ce jeudi 19 décembre, son état de santé aurait été étroitement surveillé dès les premiers jours de sa présidence. Plusieurs sources internes à la Maison Blanche rapportent que des dispositifs spécifiques auraient été mis en place pour protéger le président et gérer ses activités. Parmi ces mesures, l’emploi du temps de Joe Biden aurait été aménagé pour le préserver, et son exposition médiatique aurait été strictement contrôlée, comme le rapporte CNews.

Des conférences de presse limitées et une communication encadrée

Les conférences de presse de Joe Biden auraient été limitées et minutieusement préparées. Un conseiller personnel aurait été engagé pour le coacher et améliorer ses prises de parole publiques, tandis que d’autres responsables auraient été formés à présenter les informations de manière claire et concise lors des réunions. Cependant, certains incidents lors de discours officiels ont alimenté les spéculations sur son état de santé. Des accusations que la Maison Blanche a toujours vigoureusement démenties.

Une fin de mandat marquée par l’isolement

Depuis qu’il a annoncé son retrait de la course présidentielle, laissant sa place à Kamala Harris, Joe Biden aurait progressivement réduit ses apparitions publiques. Avant même la victoire de Donald Trump le 5 novembre dernier face à la vice-présidente démocrate, le 46ᵉ président aurait pris du recul, passant davantage de temps en famille et devant la télévision, comme l’avait rapporté le Daily Mail en octobre. Selon certains de ses alliés, Joe Biden vivrait une fin de mandat marquée par une certaine solitude.

La journée de ce Mercredi 18 décembre 2024 marque un tournant historique dans la politique française. La Cour de cassation a confirmé la condamnation de Nicolas Sarkozy dans l’affaire des écoutes « Bismuth ». Une décision qui suscite des réactions fortes, notamment de son fils Jean, qui lui a exprimé un soutien émouvant.

Une condamnation inédite pour un ex-président

Nicolas Sarkozy a vivement réagi à cette décision qu’il qualifie d’« injustice profonde ». La Cour a rejeté son pourvoi, validant ainsi la condamnation de 2021 à un an de prison ferme sous bracelet électronique pour corruption et trafic d’influence. Cette peine, inédite pour un ancien président, inclut également trois ans d’inéligibilité.

Sur Instagram, Jean Sarkozy, le deuxième fils de l’ancien chef de l’État, a témoigné son soutien en publiant une photo de lui enfant dans les bras de son père, accompagnée de la légende : « Ce que je vois. » Ce geste symbolique apporte un réconfort à Nicolas Sarkozy, qui devra prochainement comparaître devant un juge de l’application des peines pour fixer les modalités de son bracelet électronique.

Dans un message publié sur X, Nicolas Sarkozy a déclaré : « Comme je l’ai toujours fait au cours de ces 12 longues années de harcèlement judiciaire, j’assumerai mes responsabilités et ferai face à toutes ses conséquences. »

Un « pacte de corruption » confirmé par la justice française

Cette condamnation repose sur les faits de 2014, où Nicolas Sarkozy, en complicité avec son avocat Thierry Herzog, aurait conclu un « pacte de corruption » avec Gilbert Azibert, magistrat à la Cour de cassation. Ce dernier devait influencer un recours dans l’affaire Bettencourt.

Son avocat, Me Patrice Spinosi, a confirmé que l’ancien président respectera la sanction tout en annonçant le dépôt prochain d’un recours devant la Cour européenne des droits de l’Homme (CEDH) : « Nicolas Sarkozy se conformera évidemment à la sanction prononcée, qui est désormais définitive. Toutefois, il demandera à la CEDH de garantir les droits que les juges français lui ont déniés. »

Un autre procès à venir en 2025

L’agenda judiciaire de Nicolas Sarkozy reste chargé. Dès le 6 janvier 2025, il comparaîtra devant le tribunal correctionnel de Paris pour des soupçons de financement libyen de sa campagne présidentielle de 2007. Ce procès, prévu jusqu’au 10 avril, porte sur des accusations de « recel de détournement de fonds publics », « corruption passive », « financement illégal de campagne électorale » et « association de malfaiteurs ».

Des jours avant de partager un dîner avec leurs épouses, à l’issue de la cérémonie de réouverture de Notre-Dame de Paris, François Hollande et Nicolas Sarkozy ont affiché une complicité inattendue, comme en témoigne une vidéo partagée sur le réseau social X.

L’heure de la réconciliation a-t-elle sonné ?

Si Donald Trump a eu l’honneur d’être assis aux côtés d’Emmanuel Macron lors de la cérémonie de réouverture de Notre-Dame de Paris, le 7 décembre dernier, François Hollande et Nicolas Sarkozy, eux, ont partagé le même banc. Les deux anciens présidents ont été photographiés en pleine discussion au sein de l’édifice religieux, suscitant des réactions.

À l’issue de cet événement, marqué par des performances artistiques de renom, les deux hommes et leurs épouses respectives se sont retrouvés au restaurant Le Flandrin, dans l’Ouest parisien, comme l’ont rapporté nos confrères du Point. Lors d’un passage sur BFMTV, ce dimanche 15 décembre, François Hollande a évoqué ce dîner, déclarant : « Nous sommes capables de nous parler. » Tout en reconnaissant leurs oppositions politiques, il a ajouté : « Nous sommes dans un moment où on doit se parler, entre républicains. Il faut être capable d’aborder ensemble ce qui nous menace dans le monde. Bien que nous restions dans une confrontation politique, nous sommes aujourd’hui des républicains. »

Une complicité retrouvée au Stade de France

Au-delà de la politique, cette entente cordiale s’est également manifestée dans un cadre sportif. Le 14 novembre dernier, François Hollande et Nicolas Sarkozy ont été vus côte à côte dans les tribunes du Stade de France, lors du match opposant la France à Israël. Une photo partagée sur Instagram par la présidente de l’Assemblée nationale, Yaël Braun-Pivet, montre Nicolas Sarkozy, tout sourire, aux côtés de François Hollande, également détendu.

Une vidéo partagée sur X, ce samedi 14 décembre, a renforcé cette image d’apaisement entre les deux hommes. On y voit Nicolas Sarkozy saluer François Hollande chaleureusement en lui serrant l’épaule, tandis que ce dernier lui rend un large sourire avant d’entamer une conversation. Une séquence qui a amusé les internautes, certains commentant : « Ils sont devenus de vrais frérots ! »

Une relation digne d’un « vieux couple » politique

Dans les colonnes de L’Express, le 23 novembre 2023, François Hollande a évoqué avec humour la dynamique de sa relation avec Nicolas Sarkozy. « Sarkozy et moi, on est un couple depuis vingt ans… Un vieux couple qui ne peut plus se supporter », a-t-il plaisanté. Selon l’ancien président, les différends entre eux, souvent teintés d’humour, trouvent leur origine dans les suites de l’élection de 2012. Mais malgré leurs oppositions, leur relation illustre une forme de respect mutuel.

C’est la grosse actualité en France ce samedi 7 décembre 2024. Emmanuel Macron a accueilli Donald Trump au Palais de l’Élysée avant la grande cérémonie marquant la réouverture de Notre-Dame de Paris. Ces retrouvailles chaleureuses interviennent cinq ans après leur dernière rencontre.

Une réouverture historique pour Notre-Dame de Paris

Après cinq années de travaux intensifs, suite à l’incendie dévastateur du 15 avril 2019, Notre-Dame de Paris s’apprête à rouvrir ses portes au public. Pour cet événement marquant, Emmanuel Macron a convié de nombreuses personnalités, allant de leaders politiques à des membres de familles royales.

Parmi les invités d’honneur, Donald Trump, récemment élu président des États-Unis, a fait le déplacement à Paris. À son arrivée au Palais de l’Élysée, il a été accueilli par Emmanuel Macron avec une poignée de main chaleureuse. Ces retrouvailles mettent fin à une pause de cinq ans dans leurs échanges.

Des discussions au sommet avant la cérémonie

Lors de leur rencontre, Emmanuel Macron a exprimé sa gratitude envers Donald Trump : « C’est un honneur pour les Français de vous recevoir. Vous étiez président il y a cinq ans, et je me souviens de votre solidarité et de votre action immédiate. Welcome back again. »

Donald Trump a répondu avec enthousiasme : « C’est un honneur d’être là. Nous avons eu beaucoup de succès à travailler ensemble […] Le monde semble devenir un peu fou en ce moment, nous allons en parler. »

Alors que les deux dirigeants s’entretenaient, le président ukrainien Volodymyr Zelensky est arrivé avec un léger retard. Il a rejoint Emmanuel Macron et Donald Trump pour une discussion d’environ 30 minutes.

Volodymyr Zelensky et Donald Trump réunis à l'Élysée autour d'Emmanuel Macron pour une réunion trilatérale pic.twitter.com/9tQgHAgHdT

— BFMTV (@BFMTV) December 7, 2024

Une cérémonie sous haute attention protocolaire

La cérémonie officielle, organisée au sein de la cathédrale, a suscité des ajustements protocolaires pour satisfaire les exigences des invités. Donald Trump, bien qu’élu, ne prendra ses fonctions qu’à partir du 20 janvier prochain, ce qui limite son rang protocolaire. Selon le journaliste Patrick Cohen, invité sur le plateau de C à Vous, Trump avait insisté pour être assis aux côtés d’Emmanuel Macron. Cependant, en raison des règles diplomatiques, il a été placé au premier rang, mais non à côté du président français.

Malgré ces contraintes, sa participation souligne l’importance de l’événement à l’échelle internationale, marquant le retour de Notre-Dame de Paris comme symbole mondial de résilience et de culture.

Ce samedi 7 décembre, ils seront plusieurs dirigeants du monde entier qui vont converger vers Paris, la capitale française, pour assister à la cérémonie de réouverture de la cathédrale Notre-Dame. Un événement exceptionnel auquel participera Jill Biden, mais sans son époux, Joe Biden, le président des USA.

Jill Biden et Donald Trump à Notre-Dame : un événement mondial à ne pas manquer

C’est une des annonces qui a enchanté de nombreux Français ces derniers jours ! Après plusieurs années de restauration intensive, suite à l’incendie dévastateur d’avril 2019, la cathédrale Notre-Dame de Paris s’apprête à rouvrir ses portes aux visiteurs. Pour célébrer ce moment historique, une cérémonie solennelle réunira, ce samedi 7 décembre, des personnalités politiques de premier plan. Parmi les invités figurent le prince Albert II de Monaco, Mohammed VI, Abdallah II de Jordanie, ainsi que le président américain élu, Donald Trump. Jill Biden, la future ex-Première dame des États-Unis, sera également présente, accompagnée de sa fille Ashley Biden, pour représenter Joe Biden, qui cédera bientôt sa place à la Maison-Blanche.

Un événement sous haute sécurité

Cette cérémonie, placée sous un dispositif de sécurité renforcé, sera marquée par un discours du président Emmanuel Macron depuis le parvis de Notre-Dame. Quelques heures après cette allocution officielle, un concert exceptionnel débutera à 21 heures, avec une programmation qui promet de ravir les spectateurs. Des artistes de renom tels que Vianney, Clara Luciani et Garou – qui interprétera la célèbre chanson Belle, issue de la comédie musicale Notre-Dame de Paris – monteront sur scène. La soirée sera également enrichie par la présence du DJ Michaël Canitrot, du pianiste chinois Lang Lang, ainsi que des frères Gautier et Renaud Capuçon. Ce spectacle unique sera diffusé en direct sur France 2, permettant à un large public de vivre cet événement inoubliable.

Ce samedi 7 décembre, la réouverture de Notre-Dame de Paris sera célébrée en grande pompe avec une cérémonie prestigieuse. De nombreuses personnalités internationales, dont Donald Trump et Melania Trump, sont attendues pour cet événement historique.

Notre-Dame rouvre ses portes : tout ce qu’il faut savoir sur l’inauguration du 7 décembre

Après cinq années de travaux titanesques, la cathédrale, ravagée par un incendie le 15 avril 2019, rouvre ses portes ce week-end du 7 et 8 décembre. Elle accueillera le public à partir du dimanche 8 décembre. Cependant, une journée spéciale est prévue ce samedi, marquée par une inauguration en présence d’une cinquantaine de chefs d’État et de figures emblématiques invités par l’Élysée.

L’ancien président américain Donald Trump a confirmé sa participation via un message publié sur Truth Social le lundi 3 décembre :
“J’ai l’honneur d’annoncer que je me rendrai samedi à Paris, en France, pour assister à la réouverture de la magnifique et historique cathédrale Notre-Dame (…) Ce sera une journée très spéciale pour tous !”

Par ailleurs, Elon Musk pourrait également assister à l’événement, bien que sa présence ne figure pas sur la liste officielle des invités. Selon Le Figaro, le patron de Tesla et X pourrait accompagner la délégation Trump. Toutefois, sa venue pourrait être controversée après qu’il a publié des images inédites de l’intérieur de la cathédrale sur X, quelques heures avant une visite officielle d’Emmanuel Macron, suscitant le mécontentement de l’Élysée.

Les défis pour Emmanuel Macron

Lors de cette cérémonie, le président français Emmanuel Macron prononcera un discours sur le parvis de Notre-Dame, devant un parterre d’invités prestigieux. Cependant, un obstacle politique majeur s’ajoute à cet événement. Après la motion de censure votée par l’Assemblée nationale le mercredi 4 décembre, le gouvernement de Michel Barnier a démissionné.

D’après BFMTV, Emmanuel Macron est déterminé à nommer un nouveau Premier ministre en moins de 24 heures afin d’éviter de se présenter sans gouvernement devant Donald Trump et les autres personnalités ce week-end. Plusieurs noms sont évoqués pour succéder à Michel Barnier, et une annonce pourrait intervenir rapidement.