« On n’est pas couché » : Marina Kaye rabat le caquet de Yann Moix !

Yann

Dans la nuit de samedi à dimanche, Marina Kaye était invitée de l’émission « On n’est pas couché », sur France 2, pour faire la promotion de son dernier album, « Fearless ».

La jeune chanteuse a dû faire face aux critiques de Yann Moix. « Il y a eu Dave, Delpech et Sardou dans ce fauteuil et on a l’impression que c’est les Sex Pistols à côté de vous… Vous les faites passer pour des punks. J’ai l’impression, depuis qu’on reçoit des artistes, des chanteurs et des chanteuses ici, j’ai l’impression que les vrais artistes, c’est nous », a commencé le chroniqueur.

« Ce n’est pas que je m’ennuie, ou que je m’ennuie pas, il se passe rien en fait. Mais il y a une impossibilité de dire du mal de vous parce que techniquement, cliniquement, vous avez 17 ans, et intellectuellement vous avez l’air d’en avoir 44. Mais moi artistiquement j’en ai 12, et à 12 ans j’aurais détesté votre album. Là j’ai 47 ans et je peux dire que j’adore votre album », a-t-il poursuivi.

Marina Kaye a su faire preuve d’une excellente répartie. « Je comprends complètement, j’ai adoré travailler sur cet album, j’en suis incroyablement fière. Je comprends que vous ne l’aimiez pas… Après si vous aviez une explication avec ce serait plus logique », a-t-elle répondu.

Ruquier se sent « coupable » pour « la comète Morano »

Samedi dernier, Nadine Morano a provoqué une onde de chocs en évoquant « la race blanche » et « les racines Judéo-chrétiennes » de la France. Des propos qui ont été tenus sur le plateau de Laurent Ruquier, dans l’émission « On n’est pas couché », sur France 2.

« Dans la nuit de samedi à dimanche, j’ai vu la comète Morano passer à une vitesse… Elle s’est désintégrée ! Je suis malheureux pour elle. Je me sens coupable en fait, je vous jure, alors que je n’y suis pour rien au fond parce que je n’ai pas forcé quoi que ce soit. Je me sens coupable parce que je l’aimais bien moi cette femme en plus ! », a expliqué l’animateur de télévision, ce vendredi, sur les ondes de RTL.

Malgré la vive polémique déclenchée suite à ses propos, Nadine Morano persiste et signe. « Vous voyez, au Congo, ils reconnaissent que la France est un pays de race blanche avec des noirs, comme le Congo est un pays de race noire avec des blancs », a encore déclaré la femme politique, jeudi, après avoir discuté avec un représentant de la République démocratique du Congo (RDC).