Nicolas Bedos : « Je reviens de très loin »

Sur le plateau du Supplément (Canal+), l'humoriste a accepté d'évoquer son mal-être quasi-permanent.

« Il kiffe sa race d’être connu. » Voici des propos tenus par Victoria Bedos, la sœur de Nicolas.

Sur le plateau du « Supplément », sur Canal+, l’humoriste a accepté d’évoquer son mal-être quasi-permanent. « Je reviens de très loin. Tout le monde s’en b**** mais je reviens de très loin (…). Parfois, (…) la reconnaissance est un pansement. Dans n’importe quel métier, les gratifications narcissiques ça peut un tout petit peu soulager d’un chagrin d’amour, d’une dépression, d’une crise d’angoisse », a-t-il confié à la présentatrice Maïtena Biraben.

Récemment, Nicolas Bedos a reçu des menaces de mort suite à son sketch sur Dieudonné, dans « On n’est pas couché », sur France 2.

Un chroniqueur de Télématin s’énerve en direct après les téléspectateurs !

Grégoire Tournon a tenu à mettre les choses au clair dans l'émission « Télématin ».

Plusieurs consultants sportifs de France Télévisions ont été critiqués en raison de leur utilisation d’anglicismes lors des Jeux Olympiques d’hiver de Sotchi.

Grégoire Tournon a tenu à mettre les choses au clair dans l’émission « Télématin ». « On dit rider. On ne surfe pas. On ne dit pas un surf des neiges. On dit un snowboard. Un surf, c’est à la mer. Point », a lancé le journaliste sportif.

Très agacé, il a poursuivi : « On dit bien penalty au football, on ne dit pas une pénalité. On dit un corner, on ne dit pas un coin. Il y a un moment où on me fait des petites réflexions tous les jours sur les anglicismes. Je reçois des lettres : ‘Oui, vous parlez anglais’. Mais ce sont des termes techniques ! Voilà, c’est dit. »

 

Lilian Thuram victime de racisme en Belgique

« Lorsque l’on ne me reconnaît pas comme étant Lilian Thuram le joueur de foot, je suis reconnu - comme beaucoup de personnes - avant tout par ma couleur de peau », déclare l'ancien joueur de football à l'occasion d'un entretien mis en ligne sur le site de France Télévisions.

Malgré sa célébrité, Lilian Thuram n’échappe pas au racisme ordinaire…

« Lorsque l’on ne me reconnaît pas comme étant Lilian Thuram le joueur de foot, je suis reconnu – comme beaucoup de personnes – avant tout par ma couleur de peau », déclare l’ancien joueur de football à l’occasion d’un entretien mis en ligne sur le site de France Télévisions.

L’ex de Karine Lemarchand raconte ensuite une drôle de mésaventure. « Dernièrement, je suis allé en Belgique et, dans un restaurant assez huppé, je me suis dirigé vers les toilettes. Et, en sortant des toilettes, quand je me lave les mains, il y a une dame qui me dit ‘Oh, ce n’est pas un lieu public ici. Il faut que tu sortes’. Je lui ai répondu ‘Ecoutez, je crois qu’il y a un problème ! ». ‘Oui, oui c’est ça, il y a un problème : il faut que tu sortes », poursuit Thuram, qui a finalement été reconnu par le patron de l’établissement.

Quand La Fouine rappe avec… Roselyne Bachelot !

Le rappeur originaire de Trappes était venu faire la promotion de l'album de son nouveau groupe : Team BS.

Jeudi matin, La Fouine était l’invité de l’émission de Laurent Ferrari, « Le Grand 8 ».

Le rappeur originaire de Trappes était venu faire la promotion de l’album de son nouveau groupe : Team BS. A l’occasion de la rubrique « Face à Face », l’artiste a dû rapper sur des vers de « Bérénice » de Racine , suivi par la chroniqueuse et  ancienne femme politique, Roselyne Bachelot.

« Roselyne Bachelot Fouiny Babe, y’a du flow », a même lancé La Fouine, visiblement convaincu par la prestation de son binôme.