Mondial de l’Automobile 2024 : Emmanuel Macron et son attachement à la voiture révélés

Ce lundi 14 octobre 2024, le 90e Mondial de l’Automobile de Paris a été inauguré par Emmanuel Macron. Une belle opportunité pour le Président de renouer avec des thématiques qui lui tiennent à cœur : la stratégie, l’économie et la souveraineté industrielles.

Quand Emmanuel Macron avoue avoir raté son permis de conduire : révélations et anecdotes sur sa relation avec la voiture

Le déplacement d’Emmanuel Macron pour l’inauguration de ce 90e Mondial de l’Automobile de Paris, est d’autant plus marquant que, depuis la nomination de Michel Barnier à Matignon, l’agenda du Président est principalement orienté vers les questions internationales. Cependant, quel est son rapport à la voiture ? Dans une séquence de BFMTV datant de 2014, le président de la République avait admis, en marge de ce même événement (au volant d’une Renault Zoe), qu’il n’a jamais été un conducteur modèle : « Lorsque je conduisais, j’aimais plutôt accélérer et sentir le moteur, donc je suis un très mauvais élève de ce côté-là, ne le répétez pas ! »

En 2018, Marianne révélait qu’Emmanuel Macron était titulaire du permis de conduire depuis 1998, obtenu à Amiens après l’obtention de son bac. Au printemps 2022, Emmanuel Macron confiait dans une interview à M6… avoir raté son permis la première fois ! « Il est rare d’obtenir son permis du premier coup », admettait-il. « Je l’ai raté une fois, oui, ce n’est pas très glorieux. » Désormais, en raison de ses fonctions, le président n’a plus besoin de conduire lui-même, se déplaçant dans une voiture avec chauffeur. En 2014, il avait d’ailleurs vendu sa voiture en arrivant à Bercy, selon Marianne.

En septembre 2023, Emmanuel Macron a exprimé sa passion pour la voiture lors d’un entretien télévisé mené par Laurent Delahousse et Anne-Claire Coudray. « Ce qui est très important pour les Français, c’est qu’on est très attachés à la voiture. On aime la bagnole, et moi, je l’adore », s’enthousiasmait-il à la veille de la présentation de sa stratégie face au changement climatique. Cette déclaration, largement commentée, faisait écho à Georges Pompidou, son prédécesseur.