Le couple royal britannique en visite en Australie depuis vendredi dernier. Charles III et Camilla sont en déplacement officiel et comme l’a révélé The Sun le 19 octobre dernier, le roi est au cœur d’une triste coïncidence.
Australie : Charles III rencontre l’artisan derrière son futur carrosse, tous deux luttent contre le cancer
Le roi Charles III et son épouse Camilla sont en tournée en Océanie. Un voyage officiel au cours duquel tout a été minutieusement organisé pour ménager le souverain de 75 ans, qui se bat depuis plusieurs mois contre un cancer. « En Australie, nous n’assisterons pas à des réceptions en soirée, il n’y aura pas de dîner d’État, ce qui est inhabituel. Ils réduisent leurs horaires pour des raisons de santé, donc pas de soirées tardives », a confié récemment l’experte des têtes couronnées Kate Mansey dans le podcast Royals with Roya and Kate.
Mais, comme l’a souligné The Sun le 19 octobre, durant son passage en Australie, Charles III pourrait croiser le chemin d’un homme qu’il connaît déjà : Jim Frecklington, qui a déjà réalisé deux carrosses pour la famille royale. À 74 ans, cet artisan travaille depuis plus de six ans sur un nouveau carrosse inspiré des Rolls-Royce, sans plans ni dessins, destiné au père des princes William et Harry. « Personne d’autre ne sait comment faire, et c’est mon meilleur travail à ce jour. Je voulais créer quelque chose de spécial pour honorer le roi Charles », a-t-il confié au journal britannique. Triste coïncidence : tout comme le souverain, avec qui il a déjà correspondu, le septuagénaire est également atteint d’un cancer. Ce problème de santé ralentit considérablement ses travaux sur ce carrosse destiné au roi. « Ce serait formidable que Sa Majesté vienne ici pour admirer le véhicule pendant son séjour en Australie », a-t-il ajouté, plein d’espoir.
Toujours dans son entretien avec The Sun, Jim Frecklington a évoqué plus en détail la construction de ce carrosse. Selon lui, le roi « est pleinement conscient » du retard pris dans sa réalisation. « Dans ma dernière correspondance, je lui ai fait savoir que je suivais une chimiothérapie. Je comprends donc ce que le roi traverse », a-t-il précisé. Seule incertitude une fois le véhicule terminé : comment sera-t-il acheminé vers l’Angleterre ? « C’est à la Maison royale de décider comment elle souhaite le récupérer ou l’envoyer », a conclu l’artisan.