Une journaliste britannique essaie de vivre la vie de Kylie Jenner pendant une semaine : Ses conclusions vont vous surprendre !

Brooke Shunatona est une journaliste de mode de l’édition britannique du magazine Cosmopolitan. La jeune femme s’est mise au défi de vivre dans la peau de Kylie Jenner (la dernière du clan Kardashian/Jenner ) pendant une semaine. Selon ce qu’elle retient de son expérience, la vie de célébrité n’est pas aussi facile qu’on peut l’imaginer.

Être Kylie, c’est pas aussi géniale que ça en a l’air

Être Kylie Jenner tous les jours, ce n’est pas une partie de plaisir. C’est en tout cas l’avis de Brooke. La jeune Anglaise fascinée par la vie de Kylie Jenner (millionnaire à seulement 18 ans, vie de rêve, indépendante et surtout très célèbre), a décidé de passer une semaine entière dans le corps de la petite amie de Tyga.

Ce qui implique qu’elle s’habille, se coiffe, se maquille… enfin qu’elle vive la vie de Kylie pendant 7 jours. Elle qui pensait qu’être Kylie Jenner se limitait à faire la fête, à se prélasser des heures durant sur la plage ou au bord de la piscine, ou encore à faire le tour du monde à bord de luxueux jets privés, réalise s’être lourdement trompée :

« Je pensais que son exis­tence devait se résu­mer à se relaxer au bord de la piscine et à jouer avec ses animaux de compa­gnie mais ne vous lais­sez pas avoir par les photos de son compte Insta­gram. Cette fille est ultra occu­pée ! Je le sais parce que j’ai essayé pendant une semaine de m’ha­biller, de me maquiller et de vivre comme elle. Et j’ai fini la semaine épui­sée ! »

Selon Brooke donc, être Kylie Jenner, c’est un travail à plein qui demande beaucoup d’efforts. On sait tous d’ailleurs que pour réussir à garder la notoriété qui est la sienne, Kylie Jenner fait beaucoup (très active sur les réseaux sociaux, elle n’hésite pas à claquer des milliers de dollars en produits de beauté pour paraître toujours aussi belle).

Les gens ne se rendent pas compte du travail que ça demande

Une heure entière pour se maquiller, une pour changer de vernis (chose qu’elle fait très régulièrement) et une autre pour se mettre de l’autobronzant. Trois heures qui n’ont absolument rien à voir avec l’étape du choix de la tenue, de la perruque…

Un rituel auquel Brooke a dû se conformer pendant sa semaine d’expérimentation, sans oublier le non moins important moment de la journée : le moment du selfie. Brooke raconte qu’elle s’est photographiée dans pas moins de 67 positions différentes avant de trouver le cliché parfait.

Brooke termine la description de sa semaine ultra mouvementée en écrivant : « Je réalise toute l’éner­gie émotion­nelle qu’il faut maîtriser quand on a une vie aussi publique et à quel point un seul selfie peut vous rendre ultra vulné­rable aux yeux du monde entier. Les gens ne se rendent pas compte du travail que ça demande ! »