Holly Madison, ancienne playmate, accuse Hugh Hefner de maltraitance, l’homme réagit !

Holly Madison ancienne Playmate et ex-petite amie de Hugh Hefner accuse dans un livre (qu’elle a écrit), Hugh de l’avoir maltraité pendant qu’elle vivait à Playboy Mansion. Des accusations que le propriétaire du magazine PlayBoy qualifie d’infondées puisque selon lui, Holly cherche juste à faire parler d’elle.

Playboy Mansion, un mauvais souvenir…

Holly Madison vivait à Playboy Mansion, le manoir de Hugh Hefner comme playmate, mais aussi en tant que l’une de ses petites amies officielles. Aujourd’hui mariée à un riche homme d’affaire et mère d’une fillette, Holly vient de publier un livre intitulé « Down the Rabbit Hole », dans lequel elle accable le patron de Playboy, l’accusant notamment de l’avoir maltraité et humilié durant son séjour au manoir.

Elle y décrit entre autres, la manière dont le fait d’intégrer le manoir l’avait transformé : « Avant de rentrer dans la Play­boy Mansion, j’étais quelqu’un de plutôt bien dans ses pompes, mais il n’a pas fallu longtemps avant que ma confiance en moi ne s’effondre. » Holly se souvient de combien Hugh la traitait avec mépris et cite à titre d’exemple, une période ou elle s’était coupé les cheveux.

Holy en quête de pub ?

Elle soutient que l’homme s’est montré cruel lorsqu’il a vu le résultat allant jusqu’à lui cracher au visage avant de lui dire qu’il la trouvait moche : « Tu fais vieille, dure et vrai­ment cheap. » Des frustrations quotidiennes auxquelles elle n’a échappé qu’en s’enfuyant du manoir comme elle le raconte.

Informé du l’entreprise de son ex-petite amie, l’homme de 89 ans avait simplement déclaré à Us Weekly « Au cours de mon exis­tence, j’ai eu plus que mon compte de rela­tions amou­reuses avec de merveilleuses jeunes femmes. Beaucoup sont parties pour vivre des exis­tences heureuses, saines et produc­tives et je suis heureux que nous soyons restés en de très bons termes, très amis.»

Avant de poursuivre en déclarant : « Malheu­reu­se­ment, d’autres ont choisi de réécrire l’his­toire dans une dernière tenta­tive de rester sous les projec­teurs. J’ima­gine que, comme le dit le dicton : « On ne peut pas gagner à tous les coups ».»