Selon le Daily Mail, Katy Perry vient d’introduire une autre requête auprès du tribunal. Déclarant avoir été victime de malversations de la part de Dana Hollister ( l’autre potentiel acheteur ) qui aurait secrètement proposé 15,5 millions de dollars aux nones, pendant qu’elle était prête à payer 14,5 millions, la chanteuse semble décidée à ne pas lâcher prise.
Katy ne propose que 14,5 millions….
Vous vous souvenez sûrement de cette affaire entre Katy Perry et deux bonnes soeurs, qui s’opposaient catégoriquement à ce que Katy rachète leur couvent. Souvenez vous : arguant n’avoir guère apprécié les clips de Katy, soeurs Rita Callanan et Catherine Rose ont déclaré ne pas vouloir vendre leur couvent à la chanteuse qui, selon elles, aurait une moralité douteuse.
L’affaire portée devant les tribunaux, et alors que les deux bonnes soeurs se disaient prêtes à céder la vielle bâtisse à Dana Hollister (qu’elles préfèrent à Katy Perry), le tribunal a décidé que ni Katy Perry ni Dana ne pourraient acquérir le bien. Les soeurs Rita et Cathérine ne sont pas à mesure de conclure une vente vu qu’elles ne sont pas propriétaire des lieux.
Alors que Dana est prête à payer 1 million de plus
Toutefois, le juge avait annoncé que Katy Perry pourrait toujours acquérir la bâtisse si elle le souhaitait, mais seulement en tant que locataire. Louer ? Hors de question ! Katy est bien décidée à faire du couvent sa propriété. La chanteuse la mieux payée de l’année aurait, selon le Daily Mail, introduit une nouvelle requête auprès du tribunal.
Estimant avoir été victime de malversations, Katy explique qu’alors qu’elle proposait 14,5 millions de dollars opour l’acquisition des lieux, les soeurs se faisaient proposer 15,5 millions de dollars par Dana Hollister, sa concurrente, qui aurait même versé une caution de 100 000 dollars aux nones.
C’est donc pour cette raison que les soeurs, brandissant l’argument de la moralité, auraient refusé de conclure la vente avec elle alors que Juan Gomez, l’archevêque de Californie n’y voyait aucun inconvénient. Tout serait donc une question d’argent et non de moralité.