Nabilla Benattia est-elle le montre qui a poignardé Thomas Vergara de plusieurs coups de couteau dans le thorax ? «Mémé Livia» fait des révélations sur la face cachée du gentil Thomas qu’elle accuse de martyriser sa pauvre petite fille depuis déjà bien longtemps.
Nabilla Benattia, « l’ange de la téléréalité » est en « détention provisoire » comme l’a précisé le juge d’instruction en charge du dossier de sa supposée « tentative d’homicide volontaire » sur la personne de son compagnon Thomas Vergara. Sa grand-mère connue sous le nom de «Mémé Livia» a livré une version de la relation qu’entretenait sa petite fille avec le marseillais. Livia fait clairement comprendre qu’elle avait de bonnes raisons de douter du personnage qui accompagnait Nabilla dans sa vie de toujours. D’après elle, dans les colonnes de Paris Match, « Il y a des choses qui sont déjà écrites » même si elle était loin de se douter que « cela irait si loin ». Pour la vieille femme de 75 ans, Nabilla est plus en sécurité en prison qu’avec Thomas, un compagnon violent. « Je me suis aussi sentie soulagée de la savoir enfin en sécurité quelque part. Nabilla a fait de sa beauté un fond de commerce, mais dans l’intimité, c’est une jeune fille pudique et altruiste », déclare «Mémé Livia» au magazine.
« Mémé Livia » et les « bleus sur le corps… » de Nabilla
« Je suis corse et mon mari est italien. Nous voyons immédiatement quand ça ne va pas chez elle et c’est le cas depuis près de deux ans », affirme-t-elle parlant de Nabilla depuis qu’elle est avec Thomas Vergara. « Au début de leur relation, une ex petite amie de Thomas m’a contactée pour m’avertir: «Méfiez-vous, c’est quelqu’un d’intéressé et il a de drôles réactions.» Et «Mémé Livia» n’avait pas manqué de partager l’information avec Nabilla, qui lui aurait répondu « que ce n’était qu’une ex éconduite.» Alors que Nabilla passait pour la méchante dans cette affaire, Livia affirme que le monde que fréquentait sa petite fille connaissait bien Thomas, qui une fois de plus n’était pas perçu comme une bonne personne. « Si vous saviez le nombre de gens qui, connaissant ma proximité avec ma petite fille, m’ont mise en garde. Son attaché de presse d’abord, des assistants de plateaux, d’anciens candidats et des présentateurs des chaînes de télé pour lesquelles elle travaille…», dit-elle avant de rajouter «Tous m’ont rapporté des horreurs.» Des «horreurs» allant jusqu’à la violence ? «Entre autres… Les cris, et surtout la drogue. Et puis les bleus sur le corps… »
Le parquet a confirmé que Thomas était sous l’emprise de la cocaïne et de l’alcool avant les faits. Seul son ADN a été retrouvé sur le couteau qui l’a blessé.