La maison d’Alain Delon à Douchy sous haute surveillance : Anthony Delon dévoile tout

Véritable temple dédié au cinéma, la maison d’Alain Delon à Douchy a vu l’acteur y construire non seulement sa carrière mais aussi sa vie de famille. Cette maison a toujours eu une signification particulière pour le comédien, qui a d’ailleurs décidé d’y reposer pour l’éternité. Aujourd’hui, entre les mains de ses enfants Anthony, Alain-Fabien et Anouchka, qui en assurent l’entretien, le domaine de Douchy attire non seulement des amateurs de cinéma français, mais aussi des intrus mal intentionnés. Mais, les descendants de l’acteur peuvent dormir sur leurs deux oreilles : Anthony Delon a présenté sur Instagram le système de surveillance de la propriété, qui est très performant.

Hommage à Alain Delon : sa demeure de Douchy, gardée comme une forteresse

Dans la matinée de ce dimanche 6 octobre 2024, le fils aîné d’Alain Delon, né de sa relation avec sa seule épouse, Nathalie, a révélé en story que la maison de Douchy est protégée par un système de sécurité digne d’une forteresse. Plusieurs caméras surveillent le portail de la propriété, où les lettres et hommages laissés par les fans de l’interprète du Guépard ont été retirés après ses obsèques. Un autre élément pourrait cependant rassurer encore plus. Anthony Delon a en effet placé, au milieu des images de surveillance, une photo de son père avec l’un des cinquante chiens qui ont partagé sa vie. Avec l’humour qui caractérise la famille Delon, Anthony a ajouté un hashtag explicite : « #Security24/24 » et une légende : « Don’t even think about it… » (« N’y pensez même pas… »).

Screenshot 20241006 134235 1

Le 18 août à l’âge de 88 ans, Alain Delon décédait. L’acteur a entretenu une relation très particulière avec ses chiens tout au long de sa vie. Delon, très attaché à ses compagnons à quatre pattes, vouait un amour particulier à son dernier chien, Loubo, qu’il considérait comme son « chien de fin de vie ». En 2017, il confiait à Paris Match : « S’il devait mourir avant moi, ce que j’espère, je n’en prendrais pas d’autres. » Il ajoutait : « Si je meurs avant lui, je demanderai au vétérinaire qu’on parte ensemble. Il le piquera afin qu’il meure dans mes bras. Je préfère cela plutôt que de savoir qu’il se laissera mourir sur ma tombe dans d’atroces souffrances. » Finalement, Loubo est encore là, veillant sur la mémoire de son maître bien-aimé.