Dans son autobiographie intitulée Pour l’instant tout va bien, Benjamin Castaldi raconte combien il a souffert du départ de Flavie Flament. Largué par sms, l’animateur revient sur les circonstances de sa séparation et y décrit son ex-femme comme une femme froide et manipulatrice.
Flavie est partie du jour au lendemain…
Parents du petit Enzo, Benjamin Castaldi et Flavie Flament sont séparés depuis 8 ans maintenant. Une séparation qui fait encore beaucoup souffrir l’animateur.
Afin de panser ses plaies, Benjamin a décidé de traduire sa douleur dans un livre qu’il a choisi d’appeler Pour l’instant tout va bien. Dans son ouvrage sorti aujourd’hui en librairie, Castaldi raconte entres autres comment sa femme l’a quitté :
« Flavie est partie du jour au lendemain. A l’époque, je travaillais sur RTL2, où je tenais les rênes de la matinale. Je rentrais tout juste de la radio. Il était encore tôt quand j’ai traîné mes pantoufles dans la cuisine pour y absorber le café […]
Soudain, un Texto sur mon portable. Message de Flavie: Mes jambes ne me portent plus, je sais que tu prendras soin d’Enzo. Un message froid, plus ou moins clair mais direct. Elle n’était plus là. »
Elle racontait des tas de choses…
De couple uni et soudé, Benjamin et Flavie (deux professionnels des médias) deviendront de farouches rivaux par la force des choses : « Flavie et moi devenions des rivaux, à distance idéale pour nous épier l’un l’autre. Dans ce métier, la concurrence sévit jusqu’à l’intérieur des couples. Je l’ai appris à mes dépens. »
A Puremedia, Benjamin Castaldi a confié combien les sorties médiatiques et les propos parfois loin de la vérité que tenait Flavie dans les médias peu après leur séparation l’ont brisé :
« Elle racontait des tas de choses qui, pour moi, sont très difficiles à accepter, y compris son déni. On a vécu six ans ensemble. Quand vous l’écoutez, il ne s’est jamais rien passé entre nous. Ne serait-ce que pour mon fils, c’est compliqué de laisser dire ça… »
Des choses extrêmement dures ont été insinuées…
Et d’ajouter : « Il y a dû y avoir au moins dix Unes extrêmement violentes sur cette affaire. Des choses extrêmement dures ont été insinuées. Moi, je n’ai rien à lui reprocher. J’étais fou amoureux de cette femme. Elle est partie pour des raisons qui sont les siennes et parce que je n’ai pas été le plus parfaits des maris aussi. »
L’une des raisons pour lesquelles Benjamin dit avoir écrit, c’est justement pour rectifier un certain nombre de choses qui selon lui méritaient vraiment d’être rectifiées :
« Je reconnais mes torts dans [mon] livre. Mais entre le plus parfait des maris et ce qu’elle insinuait à l’époque, il me semble qu’il y a matière à rectifier. Affirmer qu’elle a vécu sous la pression psychologique et physique de Benjamin Castaldi, je ne peux pas laisser dire ça… »