Emma Becker, une écrivaine de seulement 35 ans, a déjà publié son sixième roman, Le Mal Joli, une histoire autobiographique d’une passion adultère, amoureuse et sexuelle.
Emma Becker revient avec « Le Mal Joli » : une plongée dans une passion interdite
C’est l’histoire d’une amante, d’une épouse, d’une écrivaine, d’une mère, bref, d’une femme. Elle s’appelle Emma Becker. Elle s’est fait connaître il y a cinq ans avec son troisième roman La Maison, le récit des deux années qu’elle a passées volontairement comme prostituée dans une maison close à Berlin. L’année dernière, Emma Becker publiait Odile l’été, une biographie sexuelle de deux femmes, parue dans une collection judicieusement nommée Fauteuse de trouble. Et voici qu’arrive Le Mal Joli, une passion amoureuse et charnelle entre Emma Becker et celui qu’elle appelle Antonin de Quincy d’Avricourt.
Emma Becker, née Emma Durand, a vu le jour le 14 décembre 1988 en Île-de-France, à Fresnes. Elle est franco-allemande d’un père entrepreneur dans l’événementiel et d’une mère psychologue, petite-fille de médecin. Ses parents se séparent en 20011. Elle a deux sœurs, Louise et Alice. Elle est scolarisée à l’Institut Montalembert à Nogent-sur-Marne, obtient en 2006 son bac avec mention, puis suit des études supérieures en lettres à l’université Sorbonne-Nouvelle.
Le premier roman d’Emma Becker, Mr, qu’elle dépose à Olivier Rubinstein, alors directeur des Éditions Denoël, lors du salon du livre de Paris, est publié en 2011. Elle y aborde par le biais d’un double autofictionnel, l’emprise érotique et passionnelle d’un chirurgien ami de ses parents et de son oncle, durant plus d’un an. Le livre est traduit dans quatorze pays.