Maya Henry raconte son calvaire avec Liam Payne et ses addictions

Les examens toxicologiques réalisés après la mort tragique de Liam Payne, survenue le 16 octobre dernier, ont révélé qu’il était sous l’emprise de l’alcool et de stupéfiants au moment du drame.

Les dessous de la descente aux enfers de Liam Payne révélés par son ex-fiancée

De nouvelles révélations confirment que Liam Payne souffrait de dépendances sévères bien avant son décès. Son ex-fiancée, Maya Henry, a récemment pris la parole pour détailler les raisons de leur séparation et l’impact de la consommation de drogues sur l’entourage des personnes dépendantes. Le couple, qui s’était fiancé à deux reprises, a traversé une relation tumultueuse marquée par les addictions du chanteur. « Au départ, c’est la consommation de drogues et les addictions qui nous ont séparés », a-t-elle confié au magazine Rolling Stone.

Une relation marquée par la souffrance

Maya Henry, qui a fréquenté Liam Payne entre 2019 et 2022, décrit une relation destructrice. « Alors que je l’aimais profondément, il a fait des choses qui m’ont blessée d’une manière que je ne comprendrai jamais complètement », confie-t-elle.

Quelques jours avant la mort du chanteur, Maya Henry lui aurait envoyé une mise en demeure lui demandant d’arrêter de la contacter. Elle avait déjà évoqué sur TikTok un harcèlement obsessionnel de la part de son ex, affirmant qu’il la joignait avec des numéros différents, alors qu’il était en couple avec l’influenceuse Kate Cassidy.

Une descente aux enfers incontrôlable

Dans une autre interview pour People, Maya Henry avait laissé entendre avoir subi un avortement durant leur relation. Lors de son entretien avec Rolling Stone, elle dresse un portrait sombre de Liam Payne lorsqu’il était sous l’effet des drogues.

« Sous l’influence des substances, il devenait méconnaissable, tellement différent de ce qu’il était à l’état sobre », confie-t-elle. Malgré les signaux d’alerte, elle a longtemps espéré pouvoir l’aider. « Je me suis mise dans des situations dangereuses et nuisibles en voulant être là pour lui », avoue-t-elle, regrettant que chaque incident n’ait jamais été un signal d’alarme suffisant pour qu’il se soigne.