Récemment, le prince Harry a confié s’être retrouvé prostré au sol lors de l’un des pires moments de sa vie. Le mari de Meghan Markle a révélé comment ses problèmes de santé mentale ont commencé et déploré le manque de soutien de la famille royale.
Un traumatisme marqué par la perte de Diana
La mort de la princesse Diana, survenue dans un tragique accident de voiture alors que le prince Harry n’avait que 12 ans, a laissé une empreinte indélébile sur sa santé mentale. À cela s’ajoute le poids des souvenirs liés à son service militaire en Afghanistan. Face à ces épreuves, le duc de Sussex affirme n’avoir bénéficié d’aucune aide ou structure de soutien au sein de la famille royale, comme il l’a révélé dans son documentaire Heart of Invictus sur Netflix.
« En position fœtale sur le sol, j’ai compris que j’avais besoin d’une thérapie »
Dans une interview relayée par le magazine Hello!, le prince Harry a déclaré avoir pris conscience de son besoin de thérapie dans un moment de grande détresse. « La première fois que j’ai vraiment envisagé une thérapie, c’était lorsque je me suis retrouvé allongé au sol en position fœtale, souhaitant avoir réglé ces problèmes bien plus tôt », a-t-il confié.
La santé mentale : un combat après l’Afghanistan
Harry a également évoqué les conséquences psychologiques de son séjour en Afghanistan en 2012. À son retour, il a été confronté à des déclencheurs émotionnels liés à des traumatismes d’enfance restés enfouis. « La perte de ma mère à un si jeune âge a provoqué un traumatisme qui n’a jamais été pris en compte », a-t-il expliqué.
Pour le prince Harry, le silence face à ses émotions l’a longtemps maintenu dans un état d’engourdissement. « Mais lorsque tout a explosé, j’ai ressenti une vague de sentiments que je n’avais jamais éprouvés auparavant », a-t-il ajouté.