L’ex-compagnon d’Iris Mittenaere a été jugée en comparaison immédiate pour violences conjugales, suite à une plainte déposée par l’ex-Miss France. Ce jeudi 7 novembre 2024, le verdict est tombé pour Bruno Pelat.
Procès de Bruno Pelat : l’ex d’Iris Mittenaere condamné pour violences répétées
Bruno Pelat, ancien compagnon de la Miss Univers 2016 Iris Mittenaere, a été condamnée pour violences conjugales lors d’une audience à huis clos au tribunal correctionnel de Paris, ce mercredi 6 novembre. D’après les informations de BFMTV et CNews, il a écopé d’un an de prison, dont six mois ferme. Sa peine est assortie d’un sursis probatoire de deux ans, interdisant tout contact avec Iris Mittenaere. Il doit également suivre une obligation de soins et indemniser la partie civile.
Bruno Pelat avait déjà été condamné en juin 2022 pour violences et menaces de mort envers son père, puis en avril 2023 pour violences sur une autre compagnie. Ces condamnations antérieures ont entraîné la révocation de son sursis probatoire, transformant trois mois de prison avec sursis en peine ferme. Il purgera cette peine, ainsi que les six mois de sa nouvelle condamnation, sous bracelet électronique à domicile, rapporte BFMTV .
Initialement, le prévenu devait être jugé le 27 septembre, mais le procès avait été rapporté à la demande d’Iris Mittenaere, qui souhaitait être présente. L’influenceuse de 31 ans avait déclaré qu’elle n’avait pas pu s’exprimer pleinement lors de son dépôt de plainte et qu’elle n’était pas « en capacité psychologique » de se rendre à l’audience, selon son avocate. .
À la suite de la plainte déposée par l’ex-Miss France, le jeune homme de 22 ans, dirigeant d’une société de promotion immobilière, a été accusé d’avoir porté des coups à Iris Mittenaere, de lui avoir frappé la tête contre un mur et de l’avoir menacée de « faire sauter » ses contrats, depuis juin 2024.
Bruno Pelat avait été placé sous contrôle judiciaire avec interdiction de contacter la victime de quelque manière que ce soit, y compris par les réseaux sociaux. La procureure avait toutefois requis sa détention provisoire « pour prévenir tout risque de récidive envers la victime et toute autre compagnie ». Selon la procureure, le prévenu « recourt habituellement aux menaces et à la violence dans ses relations ». En guise de défense, Bruno Pelat a évoqué un « problème d’impulsivité » et sa « peur de l’abandon ».