Brenda Biya, la fille de Paul Biya, témoigne de sa lutte contre la « prison mentale »

Fille du président camerounais Paul Biya, Brenda Biya, a partagé une étrange confession sur sa page Facebook jeudi dernier. Elle évoquait la « prison mentale » qu’elle dit avoir vécue.

Prison mentale : Brenda Biya, fille du président camerounais, dévoile une expérience bouleversante

Selon l’unique fille du couple présidentiel camerounais, peu de gens parlent de cette « prison mentale », qui serait pourtant, d’après elle, le pire moyen de « garder un oiseau en cage, d’empêcher un humain d’atteindre son plein potentiel ».

En approfondissant sa réflexion, Brenda Biya distingue la véritable liberté de la liberté apparente, qu’elle qualifie de « prison mentale », une fausse liberté. Elle affirme en avoir elle-même été victime et fait part de cette expérience à sa communauté. « Je sais de quoi je parle, car j’ai personnellement vécu cela. Il existe des personnes, des environnements qui vous font vous sentir tellement emprisonné que l’idée même de sortir pour acheter du pain ou simplement prendre l’air ne vous vient pas à l’esprit« , confie-t-elle.

Brenda Biya qualifie ces environnements de « toxiques » et de « prison mentale ». Elle utilise la métaphore du rat dans un labyrinthe, qui, bien qu’ayant toute la liberté de mouvement, reste piégé dans un cercle sans issue, incapable de trouver la bonne sortie.