Récemment, Lily Allen a ouvert un compte sur OnlyFans. Là, elle propose des photos de ses pieds à ses abonnés pour 10 dollars par mois. Critiquée par un internaute, la chanteuse britannique a expliqué que cette plateforme lui permet de générer plus de revenus que les écoutes de ses morceaux sur Spotify.
Critiquée pour son OnlyFans, Lily Allen explique pourquoi cela paie mieux que ses millions d’écoutes Spotify
OnlyFans, le réseau social connu principalement pour ses contenus érotiques, permet aux créateurs de contenus de monétiser leur audience. Vendredi 25 octobre 2024, Lily Allen, qui a récemment ouvert un compte sur cette plateforme, a affirmé que ses revenus via OnlyFans dépassaient ceux générés par ses écoutes sur Spotify, rapporte le Huffington Post.
Complimentée par son esthéticienne et ayant reçu la note maximale sur le site de fétichisme WikiFeet, l’artiste britannique a décidé d’ouvrir un compte il y a quelques semaines pour y poster des photos de ses pieds. Sur X (anciennement Twitter), un internaute a récemment évoqué sa nouvelle activité en dévoilée : « Imaginez être l’une des plus grandes stars pop d’Europe et être réduite à cela ».
La musicienne de 39 ans a répondu avec humour en publiant : « Imaginez être une artiste avec près de 8 millions d’auditeurs mensuels sur Spotify, mais gagnez plus d’argent grâce à 1 000 abonnés à des photos de vos pieds. Ne détestez pas le joueur, détestez le jeu. »
Selon Variety, chaque écoute des 7,5 millions d’auditeurs mensuels de Lily Allen sur Spotify lui rapporte moins d’un demi-centime de dollar. Son compte OnlyFans, facturé à 10 dollars par mois, compte environ un millier d’abonnés, lui générant un revenu accru à 10 000 dollars par mois.
Deux jours plus tard, Lily Allen a également tenu à démentir une estimation de Billboard selon laquelle ses revenus sur Spotify s’élèveraient à environ 4 000 dollars par jour. « C’est réalisé trompeur, mais je n’ai pas les connaissances pour expliquer pourquoi je ne gagne qu’une petite fraction de ce montant. Vous devez juste me faire confiance : le capitalisme néolibéral ne se soucie pas vraiment de savoir si les artistes sont payés pour leur travail », at-elle réagi.