Mélissa Theuriau s’est fait opérer après avoir stimulé une appendicite

La belle journaliste Mélissa Theuriau n’a pas été toujours bien traitée par ses camarades de collège. La femme de Jamel Debbouz a même du faire la malade pour éviter de se rendre au collège où sa vie commençait à devenir un enfer.

Theuriau, pas facile sa vie au collège

Le film de Jamel Debbouze « Pourquoi j’ai pas mangé mon père » vient de sortir. Pour sa promotion, c’est monsieur et madame qui assurent ensemble la tournée des médias. Dans une interview croisée avec Jamel dans Madame Figaro, la journaliste s’est confiée sur sa vie de couple avec l’humoriste. Si elle ne trouve rien à redire dans sa vie de couple avec un « Jamel» qui la «motive par sa créativité et sa bienveillance», la journaliste affirme n’avoir pas toujours bénéficié de la même attention de la part de ses petits camarades au collège.

Très engagée dans la lutte contre l’exclusion, aussi bien par le film qu’elle vient de tourner avec son mari que par des documentaires qu’elle produit, Mélissa Theuriau refuse de passer pour un modèle, elle qui voit d’autres exclus afficher leur inventivité pour « s’en sortir » (mieux qu’elle) sans rien faire « peser à leurs proches.» Dans Psychologies Magazine, Mélissa Theuriau a révélé avoir été « mise en quarantaine » par ses camarades au collège. Souffrant de l’isolement qu’elle vivait, elle avoue avoir trouvé une solution un peu extrême pour échapper à son enfer quotidien.

Mélissa Theuriau sur la table d’opération pour échapper à ses amis

Racontant les difficultés que lui faisaient vivre ses amis, Mélissa affirme qu’elle a simulé « une appendicite » au point de se faire opérer. « Après l’opération, quand le chirurgien a constaté que je n’avais rien, il a conseillé à mes parents de discuter avec moi », rajoute l’épouse de Jamel Debbouze. C’est à sa sortie de l’hôpital que sa mère qui venait de tomber de haut avec cette histoire a pris la décision de la changer de collège. « Ma mère a été formidable […] elle m’a inscrite dans un nouveau collège pour que je n’aie pas à remettre les pieds dans l’autre. » Même si ces faits datent d’il y a déjà un moment, Mélissa Theuriau affirme qu’ils ont parfois influé sur ses choix de sa vie actuelle. Cela « explique » d’après elle son « goût pour la gentillesse », elle qui a malheureusement fait l’expérience de « la force de la méchanceté.»