Les meilleurs ennemis des célébrités sont souvent des membres de leur entourage et Laure Manoudou en fait en ce moment l’amère expérience. Parmi les siens figurerait selon elle son ex-petit ami, Pierre Henri, qui lui réclame aujourd’hui 500 000€ de « dommages et intérêts» pour sa version livrée dans son autobiographie Entre les lignes, sur comment elle s’est retrouvée avec des photos d’elle nue sur le web.
Alors qu’elle croyait connaître à fond tout son entourage, grande a été la surprise de Laure Manoudou de savoir que la trahison viendrait de son ex, du moins c’est ce qu’elle pense. Pour elle, il n’est plus digne de confiance, il a osé la trahir en postant sa nudité sur les réseaux sociaux sans son consentement.
Laure Manaudou s’explique
La triple médaillée olympique raconte qu’elle exécutait les ordres de Pierre Henri, son ex-petit ami. Était-elle obligée de se soumettre aux exigences coquines de ce dernier ? Obligée ? Non. De son plein gré, Laure Manaudou acceptait de poser dans toutes les positions possibles et avec toute sorte de tenue. La nageuse retraitée raconte : « Avec Pierre, je n’ose pas dire non. Il veut ses photos ? Je m’exécute. Il me donne des indications, réclame des poses, de plus en plus osées, sous toutes les coutures. Et comme une conne, je fais ce qu’il dit. En débardeur, en mini-short, en slip, en string et finalement plus rien… l’idée m’enfleure que je lui envoie des balles pour m’abattre, que ces clichés sont comme un pistolet chargé dans la main d’un amant congédié. »
Après les photos, Manaudou va-t-elle signer le chèque ?
Pour avoir porté atteinte à son ex-petit ami avec cette accusation, Laure Manaudou se voit réclamer la somme de 500 000 euros de dommage et intérêt par Me Valery Le Douguet, la représentante de Pierre Henri. Cette dernière a déclaré dans Closer : «Nous avons assigné Laure Manaudou en citation directe devant le tribunal correction de Marseille pour grave atteinte à l’intégrité morale de mon client. Nous lui réclamons 500.000 euros de dommages et intérêts.»
Pierre Henri donne cependant une autre version de l’histoire qui ne tient pas moins la route si elle venait à se vérifier. «Elle laisse entendre que je la martyrisais psychologiquement pour faire de telles choses alors que tout au long de notre relation, que ce soit au début ou à la fin, j’ai reçu plusieurs photos d’elle prises par téléphone ou avec un appareil photo. Je ne l’ai jamais forcée à faire quoi que soit. Pourquoi aurais-je fait ça ? D’ailleurs quand les photos sont apparues je suis une des premières personnes à avoir été la consoler », dit-il à son tour dans Closer.